Dépucelage de Lise

Adeline (corrigé+fond+image)

  - Attention Réservé à un Public Averti de plus de 18 ans -  

DEPUCELAGE de LISE

Chapitre 1 

La virginité désigne une personne qui n'a jamais eu de relations sexuelles. La virginité est biologiquement non fondée et est une réalité sociale, culturelle et religieuse. C'est avant tout la virginité féminine qui est en jeu (surtout chez les célibataires), alors que celle des hommes est de faible importance. Il est souvent associé à des notions de pureté et d'honneur, plutôt dans les cultures et les religions qui soulignent l'abstinence avant le mariage.

Lise était une jeune femme qui avait à peine émergé de son adolescence, elle venait de célébrer son 18ᵉ anniversaire et était toujours vierge. Elle le promettait à son amant, maître de sa vie.

Comme un grand nombre de ses amis, elle entretenait des relations amoureuses avec des garçons de son âge. Quelques-uns avaient été autorisés à jouer avec ses petits seins, d'autres à toucher l'entrée de sa vulve, mais jamais à la pénétrer. Elle souhaitait conserver ce plaisir avec l'homme de sa vie ou son amour.

Lise se passionnait pour la littérature érotique et fréquentait souvent une grande librairie en centre-ville. Chaque fois qu'elle venait au magasin, elle éprouvait un certain plaisir à découvrir toutes ses œuvres. Mais surtout par la présence du propriétaire de l'établissement auquel son cœur battait. Lise était une fille au physique magnifique, elle avait environ un mètre soixante-dix, son corps était maigre. Elle avait de petits seins avec de belles fesses, elle aimait porter de petits hauts qui dissimulaient à peine le bas de l'abdomen. Cependant, ses longs cheveux bruns retombaient sur la base de ses fesses.

Un jour alors qu’elle voulut attraper un ouvrage en hauteur, elle est partie à la renverse. Elle a été rattrapée par des mains puissantes qui n'étaient rien de plus que celles du propriétaire de la place. Elle les sentait sur sa peau, son cœur commença à vibrer aussitôt. Il la pose doucement, elle se retourne et lui vole un bisou, ses lèvres chaudes l'embrassent et elle s'enfuit.

Pendant quelques jours, elle évita de passer devant le magasin, honteuse de son geste. Toutefois, elle a rencontré la librairie dans la rue. Après des excuses confuses des deux côtés, il lui a finalement demandé de venir chez lui, il avait une pièce entièrement consacrée en partie à sa littérature. Le rendez-vous fut fixé dimanche après-midi, son cœur se remit à vibrer à cette attente.

Elle était si impatiente de venir, qu'elle est arrivée de bonne heure. Comme c'était une journée chaude, elle avait enfilé un petit short avec un petit débardeur laissant ses petits seins en liberté. Elle a été accueillie avec joie par le maître de l'endroit, qui avait également une tenue décontractée, une petite chemise et un bermuda. Il l'a félicitée pour sa beauté, qui l'a fait rougir et un sourire a illuminé son visage. 

Il l'invita à le suivre à sa petite bibliothèque littéraire, et ils entrèrent dans une pièce dont les murs étaient couverts de livres de différentes dimensions. Le seul meuble dans cette pièce était un petit divan au milieu. Il l'oriente vers le coin littéraire érotique dont elle passionne. Elle découvrit une multitude de titres plus suggestifs, les uns que les autres. Elle a trouvé un livre qu'elle connaissait bien « Emmanuelle » et original. Toutefois, quand elle se tourna pour demander si elle pouvait l'emprunter, elle fut surprise de voir son mentor complètement nu.

Son beau sourire disparaît progressivement pour céder le pas à la peur. Elle voyait ce sexe immense, long et extra-large. Son futur amant se masturba doucement en face d'elle, mais ces doigts peinèrent à l'entourer.  D'un pas, il s'est retrouvé en face d'elle, elle a senti une main allongée sur le fond de son ventre, qui flottait de gauche à droite sur sa peau. Parfois elle glissait sous son petit débardeur et caressait ses petits mamelons, à chaque massage, elle sentait qu'ils devenaient plus gros. Coincée dans un étau, elle ne bougeait pas lorsqu'une main passait sous son short directement vers sa vulve. Elle ferma les yeux pour finalement apprécier ce plaisir de caresses sur son corps.

Elle chuchote qu'elle est toujours « Vierge » et que ce sera sa première fois. Il la rassura en lui faisant la promesse d'être doux. Il reste tout de même que son pénis grossit encore un peu plus et elle le voyait. Elle ne s’imaginait pas un tel engin dans sa chatte. Il embrassa ses lèvres tremblantes et la déshabille en un rien de temps. Tous ses petits lambeaux se trouvaient à ses pieds.

Il l'a gentiment incitée à s'asseoir sur le canapé, lui nettoyant les cheveux qui cachaient son visage, cette énorme bite se tenant juste devant sa bouche. Une main a attrapé une touffe de ses cheveux et a poussé sa tête droite vers ce gland veineux. Elle devait ouvrir la bouche au maximum pour la recevoir. Elle sentait des mouvements d'avant en arrière et chaque fois que cette queue entrait un peu plus entre ses lèvres, elle avait finalement de la difficulté à respirer. Même si elle voulait repousser ces agressions, la main sur sa tête a continué à l'inciter jusqu'à avaler complètement ce gland. Malgré tous ses efforts, elle a lâché prise, maintenant ses lèvres touchent le bas du ventre de son attaquant. Il a finalement enlevé cette queue, elle a commencé à tousser et cracher toute sa salive et a pris un moment pour reprendre son souffle.

Son amant n'avait pas perdu son temps, parce qu'il était déjà entre les jambes. Une main frotta l'entrée de sa vulve qui mouilla instantané, sans avertissement il entra son gland en elle. Elle a crié, sentant cette tête entrer et sortir d'elle. Le mouvement s'accélère lentement au même rythme que la profondeur. Il a finalement ressenti un peu de résistance à son gland, à l'attaque suivante, il a poussé plus fort perçant sa virginité. À l'instant, elle criait de douleur et progressivement le plaisir se levait. Elle voyait la queue ressortir de sa vulve aux couleurs de sa virginité. Sous l’excitation, son amant la pilonnait maintenant violemment, son corps frémissait de partout et un puissant orgasme lui arraché un cri du fond de la gorge. Sa chatte avait avalé toute cette queue en elle, le frottement de la paroi du gland en elle, emportait de puissants cris. D’un geste brusque son amant se retira de son abime et un puissant flux de sperme vint arroser sa touffe brune de sa chatte, c’était tellement puissant que même ses petits seins furent inondés. Apparemment, le flot de ce gland ne cesserait pas parce qu'il était si long.

Tous deux sont restés nus pour reprendre leur rythme, Lise se sentait désormais « FEMME ». Elle sentait toujours cette grande tige en elle. Elle regardait lentement toute la semence que son amant avait projetée sur elle. À présent elle enfilait ses vêtements et gardait la semence sur elle. Son amant lui chuchota à l'oreille qu'il voulait lui donner son éducation sexuelle. Avec un petit sourire, elle a accepté...

Chapitre 2 

Depuis que Lise avait perdu sa « VIRGINITÉ », elle marchait fièrement dans la rue, se sentant femme comme si l'on pouvait le voir sur son visage.

Son amant lui ayant offert de perfectionner son éducation sexuelle, elle a dû l'appeler Maître ou Monsieur. Depuis cette première fois, elle l'a vue plusieurs fois et, à chaque fois, ils ont eu des relations sexuelles différemment.

À peine elle arrivait chez son Maitre qu’elle devait se mettre nue, de cette façon offrant à sa vue ces petits seins ainsi que la touffe qui cachait en partie l’entrée de sa vulve. En arrivant dans le salon, elle fut surprise que le Maître n'était pas seul, un autre homme du même âge assis dans un fauteuil. Sa première réaction fut de se retourner et de dissimuler son intimidation de ses mains. Elle fut aussitôt rattrapée par Monsieur qui lui fit savoir qu'elle devait répondre à la moindre de ses envies. Il l'a ramenée au salon avec les bras le long du corps. Elle s'est assise à la place qui venait d'être conçue au centre du canapé. Elle a dû poser ses mains sur ses genoux et écarter les jambes.

L'homme assis admirait son corps jeune et sublime, il félicitait son Maître pour la beauté de sa maîtresse. Pendant qu'il parlait, il avait sorti sa queue de son pantalon, elle enflait doucement. Il était maintenant debout et a jeté tous les vêtements qu'il portait sur le plancher. Se trouvant à poil avec sa queue droite, il s'approcha de Lise. Elle était aussi rouge qu'une écrevisse et n'ose pas regarder ce pénis venir à elle. Une main leva lentement son visage et enfonça ensuite son gland dans sa bouche. 

Dans un premier temps, il exécutait les va-et-vient sans trop enfoncer sa queue, il finit par lui faire comprendre qu'à présent, elle devait gérer ses gestes. Il lui guida la tête en lui enfournant un plus à chaque entrée. Elle sentit finalement le bout du gland toucher le fond de sa gorge, parfois elle recracha sa salive avec l'odeur de plaisir de cette queue. Il est les deux mains brutalement tenues, sa bouche sur cette bite, et tout à coup explosé dans sa gorge. Elle ne pouvait plus respirer et a été obligée d'avaler une partie de la semence qui lui remplissait la bouche. L'homme s'est remis en mouvement afin de finir de profiter du reste du flux de sa queue. Lorsqu'elle se trouva finalement libérée, le sperme coulait dans son corps. Elle s'est enfuie et s'est jetée dans la douche longtemps pour nettoyer la saleté qui avait souillé sa bouche et son corps. Lorsqu’elle revint au salon, l’homme était toujours nu et avait repris sa place dans le fauteuil, le maitre lui ordonna de rentrer chez elle et de ne pas revenir avant qu’il lui fasse signe. Sans un mot, elle est partie en larmes puisqu'elle avait été humiliée comme ça et qu'elle s'était fait passer pour une fille de joie.

Après plusieurs jours sans nouvelles, elle a reçu un texto l'invitant à venir à la librairie avant l'ouverture de l'après-midi. Il a été mentionné qu'elle ne devait porter qu'une toute petite robe. Elle était divisée entre honoré de cette date ou pas surtout avec la dernière expérience. L'amour pour son Maître était le plus fort…

Comme toujours elle est arrivée tôt, le Maître l'a accueillie avec un immense sourire qui l'a réconfortée, dès qu'elle est entrée à l'arrière de la boutique, elle a fait tomber sa robe à ses pieds. Puis elle tomba à genoux, ses petites mains arrachèrent la queue de son maître de son pantalon, elle se mit à le sucer goulûment. Sous la surprise, on voyait son plaisir, il l'éleva doucement pour la déposer sur le ventre sur une table déjà bien remplie de livres. Sa queue mouillée pénétrait tendrement dans sa vulve, des mouvements légers, se remplaçaient sous peu de coups de reins brusques. Les deux jouissaient ensemble, elle ressentit son bassin tremblé fortement tandis qu'il laissait sa bite remplir sa chatte de sa semence. Sa queue toujours en elle, Lise sentit le flux de sperme se répandre à l’intérieur de son ventre, plusieurs pulsions avaient jailli en elle.

Lors des rencontres qui suivirent avec son Maitre, il n’était maintenant plus rare qu’elle devait sucer un inconnu devant lui, il arriva même qu’elle dût se laisser baiser. Dans ce cas, elle s'étendit sur le lit et laissa l'homme la pénétrer, elle ferma les yeux en songeant à la queue de son Maître.

Chapitre 3 

Au fil du temps, Lise est devenue accro au sexe, toutes les relations qu'elle entretenait avec son Maître étaient une nouvelle expérience. Ce jour-là, elle n'a pas manqué ses habitudes, lorsqu'elle est arrivée, elle s'est mise nue et est allée rejoindre le Maître dans sa chambre. Lorsqu'elle est arrivée, elle a été surprise d'apercevoir un plateau au milieu du lit. Là, il y avait une serviette blanche, un peigne, un ciseau, une petite tondeuse. Le Maître est entré derrière elle et l'a informée qu'il était temps pour elle de redevenir une jeune femme. Il allait lui soutirait toute cette touffe brune qui cachait l’endroit de sa vulve. Couchée sur le lit, elle sentit maintenant les petits cliquetis des ciseaux dégrossir cette magnifique touffe qu'elle avait gardée. De légers coups de peigne vinrent ratisser son petit bas du ventre, elle sentit finalement les vibrations de la tondeuse qui dessinait un petit triangle montrant l'ouverture du plaisir. Cette grosse touffe avait cédé la place à un petit triangle au bas de son ventre, elle lui passait la main qu'elle adorait.

L'éducation de son protégé avançait à grands pas. Ce jour‑là, il a décidé de lui donner une petite séance de FISTING. Comme toujours elle apparaissait nue devant lui, ses petits seins avaient enflé à force de jouer avec. Deux petites poires plombaient sur sa poitrine avec de jolis tétons bien rouge. Il l'informa qu'il lui, réservait une surprise et l'emmena dans une autre pièce. La pièce était très peu meublée, avec un lit d’une personne sui trônait au centre de celle-ci, il était recouvert uniquement d’une alèse.

Il l'a étirée doucement au centre du lit et ses doigts ont commencé à voyager à travers ce beau corps. Lise ferma les yeux et s'inclina devant le plaisir. Elle pouvait sentir sa bouche sur ses tétons pendant qu’une main caressait l’entrée de sa vulve. Il arriva qu'un doigt vienne toucher son petit bouton rose qui raidissait le dessous de son bassin et ses fesses décollèrent à chaque fois. Elle était effrayée par sa douleur potentielle. Elle sentit les lèvres de son Maître toucher sa peau pendant qu'elle descendait dans sa tanière de plaisir. Elle sentit à nouveau des caresses sur sa vulve, les doigts étaient trempés, lisses. Ouvrant les yeux, elle voyait qu'il y avait plusieurs doigts dans sa chatte, elle sentait l'espacement de son entrée. Elle avait commencé à venir depuis un moment, elle continuait à regarder son Maître et en particulier cette main entre ses jambes. Elle disparaissait progressivement. Une immense chaleur brûlait tout le fond de son ventre, à présent elle sentit le poing de son Maître dans son orifice. Elle poussait de grands cris de jouissance, un énorme désir d'uriner l'emportait, mais de honte, elle retenait sa vessie pour évacuer. De petits jets timides surgissaient parfois, le Maître remarqua et poussa un peu plus profondément son poing sur sa vessie. Un orgasme saisit l'ensemble du corps de Lise, elle ne contrôlait plus rien. Un long écoulement s'écoula de sa vulve, sous cet effet dont elle jouissait encore plus fortement. Une fois ses esprits repris, elle n’osera même pas deviner qu’elle pouvait avoir un orgasme aussi fort.

Le Maître laissa passer quelques jours avant de lui présenter une autre surprise. Il la dirigea une seconde fois dans cette petite pièce. Lise sentit cette fois la peur s'élever en elle. La chambre n'était pas changée avec toujours ce lit dans son centre. Le Maître lui demanda de s'allonger à plat ventre. Elle regarda timidement le visage de son Maître et celui-ci lui répondit avec un petit sourire. Lentement, il a libéré sa longue chevelure de son cou et ses doigts ont commencé à se déplacer le long de ses reins. Une main glissa entre ses jambes caressant sa vulve, mais surtout son petit bouton rose. Le Maitre s’enduit ses doigts d’un lubrifiant, et maintenant ses doigts étaient vocalisés entre ses jambes, elle sentait ceux-ci jouaient à l’entrée de son petit trou pendant que l’autre caresser sa chatte comme pour la détendre. Elle venait de sentier l’entrée humide d’un doigt dans son trou. Son petit cul s'est redressé et s'est relevé du lit. Au bout de quelques minutes, elle finit par se détendre. D'autres doigts plongeaient dans son abîme, elle enfonçait sa tête dans ses bras pour ne pas crier, elle sentait son petit cul s'ouvrir à ses intrus.

Le Maître l'empoigne d'une main pour amener son petit trou à la hauteur de sa queue. Il la maintenait fermement alors que son gland commençait à frotter contre l'entrée de son tunnel. Elle avait envie de s'enfuir en hurlant. Mais, elle était maintenue fortement par ses mains, enfin le bout du gland força le passage, en criant, elle se laissa tomber au moment même, où le gland rentrait pleinement en elle. Après plusieurs mouvements et une certaine douleur disparue, elle commença à prendre du plaisir. Son petit cul a même aidé cette queue a entré un peu plus en profondeur. Les agressions étaient plus rapides et profonds, elle entendait son petit cul qui tapait contre les jambes de son Maitre. Elle était divisée entre pleurer, crier ou jouir, les larmes coulaient doucement et malgré tout un plaisir envahissait le fond de son bassin. Le poids du corps de son Maitre tomba sur elle et en même temps un long flot de sperme avait inondé tout son petit cul. Malgré la douleur, elle avait joui sans le confesser au Maître.de son Maitre tomba sur elle et en même temps un long flot de sperme avait inondé tout son petit cul. Malgré la douleur, elle avait joui sans le confesser au Maître

Chapitre 

Lise avait parcouru toutes les étapes que son Maître lui avait imposées et était fière d'elle. Il aimait son corps de rêves, ainsi que ses cheveux. Avoir des relations sexuelles avec elle était un plaisir. Toutefois, il voulait lui faire découvrir le « DONJON ».

Pendant cette période Lise a rencontré un jeune homme de son âge, l'amour au premier regard avait été immédiat. Il était grand et beau, l’amour de sa vie pour Lise aussi elle s’apprêtait à annoncer à son Maitre qu’elle arrêtait tout. Son nouvel amour devait cependant s’absenter pour son métier, il devait partir pour un mois à l’étranger ne pouvant pas emmenant Lise avec lui.

Quand Lise se rendit chez son Maître contrairement à ses habitudes d'habitude elle resta habillée, il fut très étonné par son comportement plutôt docile dans les temps ordinaires. Après avoir donné ses explications de départ, le Maitre la supplia de lui accorder trois soirées pendant l'absence de son compagnon.  Après avoir eu l'assurance que tout s'était arrêté par la suite, elle a fini par accepter cet accord.

La première soirée le Maitre l’attendait à l’entrée de chez lui, d’abord surprise de le voir attendre sa venue un baiser fut échangé, Pour chambouler les habitudes le Maitre commença à la dévêtir, elle portait un petit corsage sur un pantalon de Chanel, ainsi que des sous-vêtements en dentelles rouges. C'était à nouveau une découverte pour son Maître de la voir ainsi, elle était réellement devenue « FEMME ».

Une fois nue, sans un mot, il lui banda les yeux et mit les mains de Lise en avant, elle sentit un cordage se nouer ses poignets. Il la prit doucement par le bras afin de la diriger vers le « DONJON », le corps de Lise frémissait légèrement cette fois de peur de l’inconnu ne voyant rien.

Elle entendait un bruit de serrureet fut introduit dans une pièce, elle sentait le sol froid sous ses pieds, une sensation de fraicheur envahir son corps. Le Maitre lui saisit ses mains pour les mettre en hauteur, elle se sentait comme attachée du vide. Ses bras se levèrent brusquement, on tirait son corps dans les airs, la pointe de ses pieds effleurait à peine le sol maintenant.

Suspendu dans le vide, le Maître lui demanda un nombre de zéros à dix, le nombre six sortants tout de suite de sa bouche. Il a pris l'objet à partir du numéro indiqué. Elle sentait maintenant le souffle de son Maître, ses mains qui couraient dans tout son corps, préférant ses petits seins et ses fesses. Doucement, il lui murmura de compter avec lui… Le premier coup de la cravate choisi vint cingler ses fesses… UN… Les autres s’enchainer aussitôt tombant parfois sur le bas du ventre, ses petits nichons, mais surtout sur le fessier. Stupéfaite et sous les coups, elle perdit la notion du temps, finalement son corps toucha à nouveau le sol.  Le Maître l'emmena dans la chambre principale et calma les coups reçus avec un baume qui lui passa en douceur. Après un peu de repos et de récupération, elle a fait l'amour avec son Maître qui lui a fait prendre un grand plaisir à être pardonné.

Avant de quitter, il lui a donné une nouvelle notification, il lui a offert tout un week-end à la maison et elle serait alors libre de tout mouvement. Mais, cette fois, elle devrait céder à toutes les exigences et au plaisir du Maître.

Elle reçut un carton d’invitation avec les directives à respecter, elle devait venir être vêtu d’une petite robe cachant à peine son intimité, mais avant tout de ne décevoir personne.

Elle arriva comme prévu vers le dix-huit heures, le Maitre après l’avoir l’accueillir la dirigea vers le « DONJON ». Elle put enfin découvrir cette fameuse pièce secrète qui lui paraissait bien sombre. Le Maitre lui attacha les mains et ses poignets se retrouvèrent suspendu à un palan, de nouveau son corps décolla du sol.

Un spot puissant se dirigea vers elle, ébloui, elle ne put pas voir le reste de la pièce. Progressivement, les rires se rapprochaient d'elle. Elle put voir plusieurs silhouettes entrer dans le donjon. Ses soupçons étaient confirmés, elle sentait désormais une multitude de mains qui jouaient avec sa poitrine et son intimité. Certains ont fortement pincé ses mamelons en arrachant des cris de douleur. Elle hurla lorsqu’un gland venait de pénétrer son petit trou sans précaution. Un autre homme se tenait devant elle, la voilà coincée dans un étau par deux queues. L'homme qui labourait sa vulve semblait plus grand et plus virulent. Quand elle sentit son cul ou sa chatte se remplir de sperme, le gland fut tout de suite remplacé par un autre.

Après plusieurs assauts, elle fut mise par terre, et cette fois comme une meute de sauvages, elle sentit ses mains et ses queues arrachées son intérieur. Plusieurs orgasmes la secouaient, elle gémissait en même temps de plaisir et de douleur, profondément elle avait honte de jouir ainsi.

Malgré le temps qui a passé les assauts n'a pas cessé, son corps s'est trouvé complètement souillé de spermatozoïdes, même certains avaient uriné à l'entrée de sa vulve. Quand elle vit des hommes sortir de cette pièce, ils paraissaient être remplacés sur les champs par d'autres.

Ces séances ont duré une bonne partie de la nuit, maintenant elle se contentait d’écarter ses jambes pour laisser libre cours aux queues qui venaient encore la pilonnée. Elle était incapable de savoir combien d’hommes étaient rentrés en elle ou éjaculer sur elle. Un flux gluant dégoulinait de partout sur elle, y comprit dans sa chevelure.

Comme par miracle, les messieurs quittaient la pièce un par un, après avoir jeté leur semence sur elle. Épuisée au milieu de la pièce, elle s’abandonna dans un sommeil. Lorsqu’elle rouvrit les yeux le Maitre était à ses côtés, lui caressant délicatement sa peau. Il l’aida à se relever, il voulut la porter jusqu’au lit, mais elle refusa préférant se diriger vers la salle de bains. Elle resta sous la douche de très longues minutes sous un jet d’eau bouillantes. Celle-ci nettoyait toutes ses souillures de la nuit et de tous les instants qu’elle avait passés dans cette maison. Elle apparut enfin enveloppée dans un drap de bain, le Maitre avait préparé un copieux petit déjeuner, vint vers elle et lui fit un baiser sur la joue.

Avant de se séparer pour la dernière fois, ils firent l’amour avec volupté et passion. Tous les deux jouir ensemble en harmonie. Elle resta un long moment dans les bras de son maitre. Sans un regard remit sa petite robe et quitta définitivement les lieux…

Lise à retrouver l’Amour de sa vie, rapidement elle s’est mariée… Cependant, il arrive parfois qu’en faisant l’amour avec son mari des petites pensées vagabondent vers le Maitre qu’elle avait eu…

(@avril 2022 - Auteur JpG)

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