Libertin
L'après-midi se préparait à être très chaude, et donc tout le monde a opté pour rester à la maison pour se reposer. Je partageais un moment avec Patrice à boire un café, en discutant de banalité. Je lui ai dit que sa femme était merveilleuse. Comme nous étions en homme, je rajoutais « la baiser doit être un délice ».