LE PARI PERDU

C’était une petite soirée ordinaire. Martine était mariée à René et avait l'habitude de recevoir son parrain pendant le week-end. Durant le café, le parrain lança un pari tout simple à sa filleule. Un événement futur devait se dérouler au sein de la famille, et lui a simplement demandé de deviner le sexe du futur bébé.

Son parrain étant photographe amateur, le pari était que… Si elle perdait, elle se soumettait à une séance de photos de nu.

Cependant, elle a perdu… Son parrain lui rappela sa promesse pour la séance photo. Pour sa part, son mari ne savait pas quoi faire, sa femme étant plutôt autoritaire. Martine avait un peu rougi à cette idée, elle ne s'était jamais présentée nue devant une personne d'autres hommes.

La soirée se prolongea un peu plus tendue. Après quelques instants, le parrain sortit le CANON de son sac à dos, qui le quittait rarement. Comme il connaissait la maison, il saisit la main de Martine et l'entraîna dans vers sa chambre. Elle n'aimait pas le fait que le lit ne soit pas refait. Le parrain lui répondit que cela sera plus naturel.

Elle se plaça au pied du lit et fit voler ses pantoufles, elle portait un petit corsage avec une jupe plissée. Pieds nus devant son parrain, elle ne savait pas ce qu'il fallait faire. Toutefois, les crépitements de l'appareil se faisaient déjà entendre. Lentement, elle s'est mise à déboutonner le chemisier. Malgré le fait qu'elle portait des dessous, ses deux petits seins ont éclaté de celui-ci. Son visage toujours rouge, elle n'arrêtait pas sa progression. Son nombril finit par se présenter à l'objectif. René était resté dans l'ouverture de la porte, voire son épouse se déshabiller devant cet homme le fessait bander.

Le parrain lui demanda de tourner sur elle-même, il photographiait maintenant son dos. Brusquement, lui ordonna de faire glisser sa jupe tout en conservant cette position. Son fessier apparut petit à petit. En riant, elle se mit à trémousser son petit cul qui a finalement fait chuter le vêtement. Elle demeura immobile dans l'attente des ordres de son parrain. Finalement, elle se retourna en dévoilant sa culotte, son minou était largement visible à travers cette petite dentelle.

Timidement, elle ôta son soutien-gorge et avec l'autre bras le tenait sur sa poitrine, son parrain s'approcha et tira un coup sur une des bretelles. Surprise, elle se retrouva les mamelles libres à l'air, elle ferma les yeux et entendit seulement le bruit de l'appareil. Elle abaissait doucement sa culotte. Elle a fini nue devant son parrain.

Son parrain se mit à la mitrailler de partout, s'agenouillant même pour avoir son intimité et son petit trou de balle. Il fallait avouer qu'elle était bien foutue, de beaux seins, un petit ventre et qu'elle avait une petite touffe à l'entrée de sa vulve.

Son mari encore à l'entrée de la pièce avait une grosse bosse dans son pantalon, on pouvait voir pareil chez son parrain.

Renée ne pensa pas qu’un simple pari allait prendre des proportions plus importances dans la suite de sa vie. Les séances photos se succédèrent les unes aux autres et de plus en plus souvent, pour devenir même hard.

Martine prit goût à se montrer nue devant son parrain à la photographier, d’ailleurs cela a dû réveiller en elle un certain penchant. Depuis elle se baladait dans la maison à poil ou simplement avec une chemise qui ne cacher rien de son intimité.

Un après-midi, pendant qu'elle prenait des postures provocantes. Son parrain avait eu son sexe dur durant un certain temps, il s'est retrouvé à sortir sa bite de son pantalon et lui a ordonné de la sucer. Nue, elle s'est mise devant cette queue et l'a prise tout droit dans sa bouche.

Elle aspirait à sa cupidité et son mari entra alors dans la chambre. Elle le regarda dans les yeux et avala ce gland encore plus profondément dans sa gorge. Il pouvait entendre simultanément le déclic de l'appareil photo et le gémissement de plaisir des deux protagonistes. René voyait maintenant la semence de son parrain qui sortait de sa bouche, elle continuait à la sucer en avalant tout ce liquide visqueux jusqu'à la dernière goutte.

Martine refusait désormais ses faveurs à son mari en lui annonçant que sa chatte était réservée à son parrain. Toutefois, elle lui faisait parfois des fellations sans avaler son sperme, contrairement à son parrain.

René est devenu candaulisme, il s'est mis à aimer de savoir que sa femme suce et baise dans son lit avec une personne d'autre. Il lui arrivait de se masturber avec une forte éjaculation pensant à ce sujet.

Chaque jour, elle attendait impatiemment l'arrivée du parrain. Aussitôt arrivée, elle allait se mettre sur le lit avec sa chatte et son cul dehors afin qu'il puisse choisir par quelques trous. Il voulait la voir jouir.

René assisté de temps en temps en cachette à ses séances, non plus de nudité, mais de baise. Il se plaçait dans un coin de la chambre en silence. Il voyait sa femme offrir son clitoris à son amant, mais également son petit trou du cul. Malgré cela, il avait une forte érection, il n'était pas rare pour lui de se masturber quand ils les voyaient.

La queue du parrain était plus longue et un peu plus grosse que celle de René. Il plongea sa queue avec de grands coups de reins dans tous les orifices de sa conquête, favorisant son plaisir personnel. Martine gémissait bruyamment avec de petits cris de temps en temps. Est-ce que son visage était rougi du plaisir ou de la présence de son mari ? Il se vida dans son grognement, puis enfouit sa bite dans sa bouche pour nettoyer tout le sperme qu'il avait sur sa bite.

L’affaire conclue tout ce petit monde se retrouvait dans le salon pour boire un verre. Martine se tenait nue sur le canapé avec la jambe levée, son mari pouvait voir le fluide qui sortait de sa chatte et coulait sur ses cuisses. Il avait une érection devant ce tableau.

Un samedi après-midi, le parrain arriva avec un ami, Martine fut étonnée de le voir accompagné. Les données habituelles avaient quelque peu changé, le parrain ordonna à sa filleule de se déshabiller immédiatement. Elle voulait passer dans la chambre, il l'a rappelée, car elle devait exceller dans le séjour devant son mari et les nouveaux arrivants.

Une fois déshabillée, elle servait du café. Le copain admirait ce corps avec ses deux seins flottant en l'air et cette toison qui cache un peu l'entrée de sa vulve. Quand elle a servi le café, l'ami lui a pris les seins et lui a caressé le petit cul. Elle resta debout, regardant son parrain, attendant un souhait de sa part. Du regard du parrain, elle comprit qu'il fallait aller dans la chambre, tous les hommes la suivirent. René essaie de se faufiler dans sa petite place discrète. Cependant, Martine se met à hurler, "Il sort de la pièce et je ne peux pas jouir quand il est ici !"

Il est sorti de la pièce, fermant la porte sur lui-même. Installé dans le salon, il n'eut pas longtemps pour qui puisse l'entendre jouir ou crier. Parfois, même les petits hurlements se suivaient les uns les autres.Les gémissements, les cris et les hurlements se répétèrent longuement.

René vit les deux amis quitter la chambre et le saluer comme un ami. En rentrant dans la chambre, sa femme était allongée au pied du lit. Elle avait les jambes relevées et la chatte ouverte. Il pouvait aussi voir son petit trou qui s'était fait exploser. Elle avait des fesses rouges ainsi que son visage. Une main était dressée devant l'ouverture de sa vulve comme pour empêcher l'écoulement du sperme qu'elle avait en elle de sortir.

Sous l'excitation, il a libéré son sexe plus puissant que d'habitude et s'est masturbé devant elle. Son plaisir se leva rapidement, se rapprocha un peu d'elle et il la pulvérisa de son flux vers ses seins en l'appelant : « COCHONNE » ...

  (@Avril 2022 JpG)