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Adeline (corrigé+fond+image)

  - Attention Réservé à un Public Averti de plus de 18 ans -  

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En vacances au Maroc durant une semaine avec mon épouse Céline, nous avions réservé une chambre dans un hôtel en bord de mer. Celle-ci commençait bien, partager entre la piscine et la plage. Même si l'établissement comptait dix étages, on ne se sentait pas comprimé.

Dès le premier jour, j'avais remarqué un homme d'un certain âge qui regardait ma femme de façon sérieuse. Je dois admettre qu'elle est mignonne. Petite femme d'un mètre soixante aux beaux yeux bleus qui illuminait son visage et aux cheveux blonds qui descendaient jusqu'au centre de son dos. Elle avait une belle poitrine bien plantée sur le torse avec un sublime petit cul, avec des jambes fines qui se terminaient par des petits pieds.
Le lendemain matin je revoyais mon ami voyeur près de la piscine, il s'approcha de moi me disant que j'avais une belle dame et qu’elle avait un beau petit cul. Il poursuivi la conversation sur des banalités lorsque mon épouse s'est jointe à nous. Il nous souhaita une bonne journée, tout en demandant si nous pourrions diner ensemble le soir avec lui, cela n'a pas gêné ma femme.
Le diner a eu lieu dans une bonne atmosphère, il était attentif à mon épouse et lui a parlé d'une voix calme et douce. Comme elle se sentait fatiguée, elle prit congé. J'ai donc terminé la soirée au bar-salon avec cet homme.
Très rapidement, il est allé au cœur de la question. Il m'a encore félicité d'avoir une femme aussi adorable. Il baissa un peu la voix pour voir si ça ne me dérangeait pas de partager Madame pour une fête. Étant donné mon regard, il a commencé à m'expliquer les conditions très rapidement. On a fini par sympathiser et il a voulu que je l’appelle Marc.

Marc portait de nombreux bijoux, il avait l'air snobe. Me dit qu'il résidait en région parisienne comme moi. Il m'a donné son numéro de téléphone, il fallait que je le contacte si j'étais d'accord, mais surtout si Mme «ELLE» était d'accord .

En revenant à Paris, la vie reprend ses petites habitudes. Un soir, cependant, Céline me confessa qu'elle essaierait bien à cette aventure dans certaines conditions. Pour commencer, elle voulait ma présence permanente à ses côtés, et ne voulait pas des séances sado-maso. Alors je lui ai expliqué les principaux éléments de cette possible soirée.

J'ai contacté Marc pour confirmer l'accord de mon épouse et notamment ses termes. Il fut très heureux et demanda de dire à la dame que son acceptation ne la décevrait pas. Il devait me donner un rendez-vous, mais surtout, je devais m'assurer que Cétine était toujours d'accord. Parce qu'après le « OUI FINAL » elle ne pouvait plus reculer.

Quelques jours avant cette belle soirée Céline reçu un joli paquet, à l'intérieur une magnifique cape en satin noir et un petit carnet rose l'accompagnait. Au début, il indiquait la date de l'évènement et toutes les directives qu'elle devait suivre à la lettre.

Ce livret l'informa qu'une limousine viendrait nous chercher, qu'il fallait qu'elle soit nue avec seulement cette cape noire et des chaussures à talons noirs. De mon côté je devais porter une tenue de soirée.

Enfin le grand jour était arrivé, on a été pris en charge vers 22 heures, Céline ayant respecté les instructions. Le chauffeur a ouvert la porte arrière et levé sa cape afin que ses fesses soient en contact avec le cuir du siège. Dans la voiture, elle devait tenir ses jambes écartées et sa bouche entre-ouverte avec ses bras le long de son corps.

La nuit et les vitres teintées du véhicule nous empêchent de nous repérer. Après un trajet d'environ une heure, nous avons entendu le son du gravier sous les pneumatiques. Le conducteur a ouvert la porte du côté de Céline et l'a aidée à descendre de la voiture, et il posa bien la cape noire sur son dos, qui tomba à ses pieds.

Nous y découvrons un petit manoir dont toute la façade est illuminée de petits spots. Une femme d'un certain âge est venue nous souhaiter la bienvenue sur le perron. Elle portait la même cape noire et il y avait un petit triangle d'étoffe sur son bas-ventre et un petit corset sur sa poitrine.

La dame nous a fait entrer dans un immense hall éclairé seulement par des chandelles. Il y avait là un côté troublant et romantique. Elle m'a dirigé vers une grande porte et de son côté a disparu avec Céline par une petite porte.

Je me retrouve maintenant dans un grand salon, qui était aussi éclairé par des chandeliers disposés dans différentes parties de la salle. Le maitre de maison est venu à moi, qui n'était personne d'autre que Marc. Il me remercia encore pour ma présence, mais particulièrement celle de Céline. Il me servit un verre de champagne et me présenta quelques convives pour la plupart des hommes d'un certain âge parfois accompagnés de leur femme.

Pendant ce temps Céline avait été menée dans une grande salle de bain, deux jeunes filles nues et belles comme des déesses l'ont accueillie. La dame a pris la cape de Céline et lui a demandé d'entrer dans une immense baignoire en dépit du fait qu'elle était vide. Les deux déesses la rejoignirent, avec une éponge dans une main et une fiole dans l'autre.

En harmonie ils soulevèrent ses bras, Céline se retrouva nue les jambes écartées et les bras en croix avec ses deux créatures. Ils ont commencé à lui verser le liquide de la flasque sur chaque bras et l'étaler avec leur éponge épaisse, celle-ci effleurait sa peau, Céline ressentait une douceur flottante et surtout un parfum venait enivrer ses narines.

Une fille est venue se poser sur son dos, elle a placé son éponge à la base de son cou et descendait jusqu'à ses fesses pour remontée à son cou. Ses gestes étaient délicats et pleins de grâce. L'autre fille a passé son éponge sur sa poitrine, partant de sa gorge à sa vulve. Elle passait son éponge sur ces gros tétons tout en les massant à tour de rôle insistant sur les mamelons.

Les deux éponges se trouvaient à présent entre ses jambes, l'une glissant entre la fente de son cul qui s'ouvrait sous cette douceur. Sa vulve trempée, elle sentait sa semence se mélanger à cette huile. Céline savourait profondément, un organe la pénétrait. Malgré le fait qu'il lui fut défendu, elle pressa fort sa bouche pour ne pas crier. La vieille dame dans son coin semblait s'amuser en regardant ce spectacle.

Son corps complètement couvert de cette huile, elle ressentait une touche de sensation , mais qui lui était très agréable. Cependant une sensibilité plus forte avait agi sur sa poitrine et sa petite chatte, sans oublier son petit trou qui généralement fragile c'était ouvert et le restait. La dame remit enfin la cape sur son dos, elle sentit la douceur du satiné sur sa peau. Les deux créatures la remaquille et lissent ses longs cheveux blonds sur le tissu. La voici prête pour la fête ...

La femme prit le bras de Céline avec légèreté et lui demanda de la suivre, les deux déesses les accompagnaient. Ils pénétrèrent dans une partie du grand salon par une porte dérobée qui se situé à l'ombre. Céline vit des chaises disposées en cercle et au centre un grand cousin trônait.

Elle demanda à Céline de s'agenouiller sur ce grand cousin, la pointe de ses orteils touchant le sol qui levait ses pieds. La dame retira la cape sur ses épaules, laissant ses seins bien en vue. Elle devait également rester bien droite avec les avant-bras tendus. Elle se retrouva seule dans cette partie obscure sans que personne ne s'y intéresse.

Elle écoutait au loin le brou-ha des invités. Sa position lui sembla durer une éternité pour elle. Soudainement, elle a entendu un battement de mains et un rayon de lumière est venu sur elle. Celui-ci illuminait directement ces deux seins, un autre jaillissait plus finement qui montrait l'entrée de sa fente, un troisième éclairait sa chute de ses reins et de son petit cul. Sous l'influence de l'huile, sa peau satinée de bronzage estival brille sous cette lumière. Elle était capable de distinguer les personnes qui l'entouraient. Chacun pouvait voir son intimité.

Quelques invités l'ont encerclé et posé sur elle leurs mains rugueuses. Une femme saisit ses mamelons et se mit à tirer lourdement sur un téton. À ce moment-là, Céline sentait une douleur qui laissait place au plaisir.

Elle resta ainsi longtemps immobile à la merci des prédateurs. Son corps ne comptait pas les mains qui avaient même recherché son intimité. Son minou et son petit trou avaient été visités à plusieurs reprises.

Tous les rayons ont été éteints au même moment, on été remplacé par l'incandescence d'un chandelier. C'est alors que tout son être commença à trembler et sa peau à frémir. Le moment qu'elle craignait ne devait pas tarder.

Les deux déesses lui ont permis de se relever et de retrouver son équilibre. Ils sont ensuite sortis de la pièce avec Céline par la porte arrière quand ils sont entrés. On l'a amenée dans une chambre avec un grand lit au centre. Elle voyait les hommes qui l'entouraient et beaucoup d'entre eux étaient déjà nus. On l'installa au sommet du lit, la tête légèrement penchée vers l'arrière. Une fille a fait tomber ses grands cheveux blonds en dehors de celui-ci. Chacune d'entre elle était installé d'un côté de Céline et lui tenait une main, comme pour la rassurer ou pour l'empêcher de s'enfuir.

Je pouvais maintenant la voir étendue avec les jambes écartées, les bras en haut de sa tête et la bouche ouverte. Le Maitre du lieu m'a donné un signe comme quoi c'était à moi d'ouvrir les festivités.

Je me rapprochais de ma femme en déboutonnant mon froc pour libéré ma queue. Depuis le début de la soirée, elle s'était enflée terriblement. Je l'ai laissé jaillir sur la bouche de Céline, j'ai reçu des applaudissements de compliments. La tête de mon gland était humide, je l'ai mis entre les lèvres de sa bouche. Elle l'accueillit avec délicatesse, les lèvres tendues contre lui. Très rapidement j'ai vidé mon bâton tout en arrosant le visage.

Tous les hommes étaient là afin d'avoir du plaisir avec le corps d'une femme. J'avais à peine mis mon gland dans la bouche de Céline, qu'une queue avait glissé entre ses jambes et qu'elle la labourait impitoyablement.

Céline a commencé à jouir et elle a même lâché prise pour hurler. Son corps était recouvert de petites et grosses mains. Elle pouvait déjà ressentir la semence de certaines souches précoces qui coulaient sur elle.

Elle se laissait pénétrer comme une bête, mais elle aurait voulu sentir un gland exploser à l'intérieur d'elle. On visitait tous ses orifices, quelquefois les deux en même temps. Au creux de son ventre, se formait une petite mare de sperme. Les plus virulents se tenaient sur le lit et arrosaient ses seins jusqu'à ce que son petit duvet disparaisse sous ce liquide.

Elle était à quatre pattes et son petit nid d'amour a été envahi à répétition. Elle a eu un certain nombre d'orgasmes qui lui soutirait des gémissements puissants.

Enfin elle finit allongée dans cette marée de plaisir, quelques bites continuèrent de l'asperger. Le sperme de toutes ses queues s'était substitué au doux parfum d'huile qu'elle sentait.

A présent je me retrouver seul avec elle, assit a ses coté je lui caressait les cheveux gluant jongler du plaisir de ces messieurs. Une jeune fille vient nous dire que la voiture pour nous ramener chez nous était arrivée. Elle a aidé Céline à se relever, et nous a guidés dans le grand hall d'entrée. Céline est restée nue parce que la cape ne lui avait jamais été donnée. Lorsque je suis sorti, j'ai ramassé ses chaussures à talons hauts, elle n'avait pas la force de les porter.

Je lui ai déposé ma veste sur l'épaule pour le retour. Le conducteur moins poli ouvrit à peine la porte. Quoi qu'il en soit le chemin de retour Fu rapide.

Arrivée Céline est rentrée dans notre chambre et s'est écroulée dessus le lit. J'enlevais mes chaussures et je me couchais à ses côtés.

Elle s'est approchée et s'est mise à déboutonner ma chemise en attaquant le pantalon. Quand elle a senti mon corps dénudé, elle s'est étendue sur moi, elle déplaçait son petit cul pour que sa vulve frotte contre mon sexe. Elle l'introduisit en elle et éleva son corps, elle le voulut pleinement en elle. Les mouvements de son bassin tourbillonnaient doucement, jetant ainsi ma verge à son intérieur. J'éjaculée dans la vulve, elle m'a serré pour ne pas perdre une goutte. Elle voulait tout conserver en elle, ses petits cris me faisaient continuer à bouger en elle. Son corps finalement décontracté, elle est resté sur moi ... Exténuée, elle me chuchotait qu'elle avait aimé cette petite fête... Et elle finie par m'endormir sur la poitrine.

(@Mars 2022 - Auteur JpG)

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