Mon unique trio

Adeline (corrigé+fond+image)

  - Attention Réservé à un Public Averti de plus de 18 ans -  

MON UNIQUE TRIO

Cela a commencé en 2004, alors que je divorçais et que j'avais la garde de mon fils de dix ans. À l'âge de quarante cing ans, j'etais pris par mon travail en tant qu'agriculteur également comme intérimaire dans les travaux publics ne m'a pas permis de voir beaucoup de personnes. Alors pour tromper mon ennui dans cette campagne profonde, je me suis mis à lire des revues d’annonces de cul, et j’en ai posté une avec ma photo, demandant (à tout hasard) à rencontrer un couple.

Pourquoi un couple ? Parce que c'était un fantasme et aussi parce qu'une femme célibataire, de mon point de vue était prohibitive. Et, surtout sans histoire sentimentale (après mon dernier échec...) donc je voulais uniquement m'amuser et me vider les couilles.

 Donc, je scrutais les annonces de mon coin dans cette revue. Je suis alors tombé sur ce couple de Châlons-en-Champagne, qui voulait rencontrer un mec seul, leur fantasme c'était de voir comment son mari se comporterait s’il se faisait sucer par un de ses congénères. Bien entendu, je n’avais jamais tripoté un mec de ma vie. Bref, après avoir attendu quelques semaines, je reçois une lettre du couple, avec la photo de Miss en lingerie noire, mais avec un visage caché. Celui-ci m’expliquant également leurs désirs et le fait, que c’est sa femme qui décide (c’est tout à fait normal pour moi), et que le mari (Patrick, comme moi) me recontacterait plus tard. Je ronge mon frein (c’est le cas de le dire), en attendant la prochaine lettre. Plusieurs mois plus tard et pensant qu’ils étaient passés à autre chose, je reçois un nouveau courrier de Patrick, me fixant RDV un samedi après-midi dans un bar de Châlons-en Champagne avec un numéro de portable.

Je retourne un message indiquant que j'étais d'accord pour la date et l'heure. Le jour venu, m’étant mis sur mon 31, et avec un brin d’appréhension quand même, je vais à la rencontre de l’homme qui m’attend au fond du bar, élégant, brun la quarantaine sportive, nous commandons un café. Après des banalités ordinaires, Il me parle de sa femme Cathy, ravissante brunette aux cheveux mi- longs, bien en chair avec des gros seins (je les adore ceux-là) Elle est laborantine, c’est elle qui décide de ce qu’elle veut réaliser, entre autre comme son mari aime qu’elle se fasse manger la chatte par une autre nana, là le deal était qu’il se fasse sucer par un mec. Moi après mon divorce, puisque j'étais libre, j'avais envie d'essayer beaucoup de choses, et j'ai dit oui. 

Un soir de novembre, alors que mon fils était chez sa grand-mère, il pleuvait comme une 'vache qui pisse', j'étais occupé à préparer l'ambiance. Après avoir rempli la cheminée de bûches, réchauffant l'atmosphère au maximum. J'avais préparé le canapé, disposé des plaids et différents tapis devant le feu, comme ambiance je mis un DVD de musique de fond jazzy que j’avais acheté pour ce grand moment, de celui que l'on entend dans les supermarchés. Pour finir allumé une douzaine de bougies parfumées et fait du café.

Tout étant prêt, la musique flottée doucement dans l'air, les chandelles allumées émettant un doux parfum de fleurs. Il me restait à me doucher (insistant sur les pièces qui serviraient certainement...), et à m'habiller de façon élégante.

Il faisait nuit depuis longtemps, à vingt heures précises, j'entendis une voiture se garée dans la cour. J'ouvre la porte et je vois le couple habillé comme s'ils venaient à une réception et je suis très heureux. Petite veste bleue nuit et chemise blanche sur pantalon en jean pour lui et pour Cathy, super maquillée, une bouche rouge qui donne déjà envie, en guise de boucles d’oreilles de grandes créoles. Son épais manteau de fausse fourrure noire dissimule son corps. Je vois juste ses jambes gainées de noir avec motifs (sont-ce des bas ou un collant ?), et à ses pieds des bottines également noires. À son épaule un cabas.

Je les invite à s'asseoir à la table de la cuisine et à leur demander s'ils veulent un café, et ils répondent par l'affirmative, à cause du temps qu'il fait dehors. Nous commençons par parler des banalités, puis nous nous dirigeons vers le sexe. Cathy ouvre son manteau et dévoile un chemisier blanc suffisamment ouvert pour pouvoir, voir son collier de perles, se reposer sur la naissance de sa poitrine au teint laiteux. Son odeur est enivrante et j'ai un peu de mal à me focaliser sur ses yeux noirs avec de longs cils. À cause de ma timidité maladive, je peux à peine la regarder.

Après environ une demi-heure de discussion, Patrick envoie un message à sa femme pour qu'elle se prépare et elle me demande où se trouve la salle de bain, par courtoisie j'accompagnais la dame jusqu'à la pièce.. Je suis retourné voir son mari et je me suis demandé comment elle pouvait me trouver physiquement parlant et comment elle pourrait sortir ?

Son mari me répète les souhaits de son épouse, qui aimerait voir deux hommes jouer ensemble, mais pas nécessairement jusqu'à la sodomie, et après que nous nous occupions d'elle.J'entends des talons claquer sur le carrelage de la salle de bain et Cathy arrive enfin, perchée sur ces escarpins de 10 cm. Ses jambes potelées gainées de bas noirs tenant avec un porte-jarretelles des plus seyants et un string en tulle noir transparent permettant de découvrir ses trésors.

Un corset enferme sa taille et sa poitrine plantureuse (de 100 C) qui ont beaucoup de difficulté à s'y coller. Elle va s'asseoir sur le canapé. Elle nous attend ainsi, mon cœur palpite, l'excitation commence à arriver pour la première fois avec un couple, je me dépouille fébrilement. Patrick me fait signe de rester à ses côtés derrière le divan. On évalue nos sexes et l'on commence à les branler. Sa queue est légèrement plus grande que la mienne, mais mon gland est un peu plus large (ceci compense cela...).

On se met à bander devant cette superbe femelle en chaleur. Cathy fait demi-tour et se met à genoux sur le canapé le dos tourné, sa grosse poitrine sur le dossier, pour nous prendre en main. Je remarque qu'elle a un joli vernis à ongles rouge et qu'elle commence lentement à prendre soin de nos deux queues. Entre les deux conjoints, pas besoin de mots, je constate qu'ils se connaissent par cœur et pratique depuis longtemps. Juste un grognement de son mari, un regard léger et sa belle femme commence à nous pomper l'un après l'autre. Tout d'abord, avec de petits coups de langue sur le gland. Puis, sur l'ensemble, la longueur, peut-être pour apprécier les différences de goût, de texture, de plus en plus salope. Elle crache sur nos chibres, puis les avale à tour de rôle. Sérieusement, il y a bien trop longtemps que je n'ai pas senti cette caresse, quelle foutue pipette !

Après avoir mis nos queues raides, on va la retrouver sur le canapé, chacun d'un côté. Elle s'incline pour continuer à absorber la queue de son mari aussi loin que possible tandis que je commence à défaire son corset. Merde ... Ce truc est nul, je ne l'ai jamais enlevé, elle se lève une minute et me donne un coup de main. Oui, je peux enfin apprécier ses gros nichons blancs, ils sont vraiment superbes. Il m'offre de grandes aréoles et des tétons qui attendent juste d'être sucés, ce que je m'empresse de faire. Patrick change de poste, sa salope me dit de la suivre et c'est là que j'ai sucé un mec pour la première fois et pour lui également qui se fesait pomper par un mâle.

Voyant comme elle l'a fait, sans arrière-pensées, j'ai essayé de reproduire la même chose. Ma bouche s'empara de cette queue énorme, me mis à le sucer avec délice (j'aimais le parfum de cette tige), aspirant son gland en profondeur, alors il m'a fait signe d'y aller plus doucement au risque d'envoyer sa purée dans ma gorge. (Il m'a ensuite avoué qu'il ressentait davantage de plaisir avec ma bouche.) 

Ayant exécuté mon rôle merveilleusement, Cathy a continué à nous sucer, tandis que je commençais à caresser sa chatte qu'elle avait plutôt fermée. Elle avait des lèvres, disons, pulpeuses, j'ai entrepris d'ouvrir sa fente en polissant son bourgeon. Comme elle l'a fait avec ma queue et celle de son mari. Elle a commencé à gémir, c'était un bon signe, il était temps que je prenne la température de son four, chaud et mouillé, glissant deux doigts à l'intérieur d'elle.

humm ... C'était vraiment savoureux cette chatte rasée aux petits oignons, et a commencé à s'ouvrir et à mousser comme un moule suspendu à son rocher lorsque la marée est revenue. Patrick, avec un regard, m'a fait comprendre que je pouvais posséder sa femme. Puis, elle se coucha sur son dos, et je pénétrai enfin cette superbe salope qui s'offrit à moi. Inutile de guider mon mandrin, il est entré comme dans une motte de beurre. Son intérieur velouté et humide me fit gonfler la tige un peu plus avec chaque coup de burin. Elle commençait à onduler en suçant toujours son mec, elle faisait des bruits de succion entrecoupés de petits cris. Changeant de position, elle s'est mise à quatre pattes et Patrick est entré dans sa chatte alors que je prenais possession de sa bouche. Il l'a prise avec de grands coups de queue et à chaque sursaut elle avalé plus loin ma tige, ce sentiment était divin !

Puis, nous, nous sommes retrouvés sur le tapis, en face de la cheminée, moi couché sur le dos. Elle est venue m'embrocher la bite pendant que son mari crachait sur l'œillet et que sa bite lui prenait le cul. D’abord, doucement, puis une fois entré dans son boyau, en la sabrant à grands coups de reins, là elle hurlait franchement. Ses gros seins se balançant au rythme des coups de mandrin de son mec, je pouvais lui triturer, lui bouffer les tétines par à-coups, je sentais sa bite frotter contre la mienne à travers la mince paroi qui les séparaient, pour ma part, c'était aussi une première, et j’adorais ça, sentir une femelle remplie par deux sexes mâles en rut. Il en manquait juste un ou deux pour lui tenir la bouche grande ouverte !

Toutes les bonnes choses ayant une fin et ses genoux glissant le long du tapis, commençant à se fatiguer. Nous sommes sortis de son cul et de sa chatte béante, pour lui permettre de s'asseoir. Elle nous prend ensuite l'un après l'autre dans la bouche pour nous faire cracher notre sauce blanche, à chacun notre tour. Je me souviens encore que ma queue avait rougie avec son rouge à lèvres.

Après notre partie de jambes en l'air, ça a été plutôt rapide, Cathy est partie se refaire une beauté dans la salle d'eau. Elle est revenue habiller en BCBG bourgeoise, des baisers rapides et la vie a recommencé comme si de rien n'était. En dépit de certains e-mails pour donner des nouvelles, des deux côtés, je ne les ai jamais revus, mais je sais que cette expérience unique, ne me quittera jamais.

(Histoire suggérée par Patrick @ mai 2022 JpG)

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