LIBERTIN
L'après-midi se préparait à être très chaude, et donc tout le monde a opté pour rester à la maison pour se reposer. Je partageais un moment avec Patrice à boire un café, en discutant de banalité. Je lui ai dit que sa femme était merveilleuse. Comme nous étions en homme, je rajoutais « la baiser doit être un délice ».
Il m'a remercié pour le compliment, et m'a dit que sa femme était gourmande, qu'elle adorait les queues, mais d'abord recevoir du sperme en elle.
Il se rapproche de moi en parlant moins fort, il m’avoua qu’il était candaulisme et qu’il aimerait bien voir sa femme se faire sauter par plusieurs gars bien membrés et qu’elle serait d’accord.
Je dois avouer qu'à cette idée ma bite s'est légèrement redressée.
Je m'excusais en prétextant une sieste. Couché sur le lit, j'ai commencé à surfer sur le net sans chercher quelque chose de spécifique.Par contre, une annonce a attiré mon attention « Bienvenue chez Léon » ???
En cliquant dessus on mentionnait : « Venez passer un moment de convivialité, discrétion assurée ». À la lecture des commentaires laissés, j'ai été plutôt séduit.
J'ai appelé le numéro à la fin de l'annonce, un homme m'a répondu d'une voix amicale, je me suis présenté et lui ai demandé quelles étaient les formalités. Il m'a répondu et a ajouté qu'il était tout à fait capable de répondre à mes besoins, un rendez-vous a été fixé pour la soirée suivante à vingt-deux heures.
Le soir au dîner, j'ai informé le couple de ne rien planifier pour leur soirée de demain, que j'avais quelque chose de sympa à leur montrer.
Céline m'a harcelé avec des questions pour tenter de le découvrir. Comme je n'ai pas répondu, elle a dit : "Vilaine... ce soir, tu dormiras seule."
Jour "J" Céline a essayé de me séduire, de connaître sa surprise. De mon côté, le programme avançait et ma seule crainte était que Céline fasse demi-tour. Je comptais sur Patrice pour que tout aille comme sur des roulettes.
J'ai demandé à Patrice si je pouvais conduire sa voiture, pour que la surprise soit un peu plus épicée. Après avoir parcouru certains chemins de campagne, je me suis arrêté dans un petit village.
Sans dire un mot, je pouvais voir les regards du couple qui semblait égaré au milieu de nulle part.
Dans la rue, aucun indice ne pouvait être donné de quelque activité commerciale ou autre. Je me dirigeais vers une porte en bois légèrement renforcée qui était munie d'un interphone. J'ai sonné et annoncé mon blason.
La porte s'ouvrait dans un petit couloir, à l'intérieur d'un éclairage très faible illuminait un escalier descendant. Céline sourit et dit :
- On descend à la cave ?
Elle ne croit pas si bien dire.
On se retrouve dans une petite pièce avec un petit comptoir comme seule pièce d'ameublement. Un homme en short et polo est venu nous accueillir en disant : « Bienvenue à Léon ».
Céline commençait à comprendre, de son côté Patrice ne disait pas un mot, mais il y avait une bosse au milieu de son pantalon.
Léon nous explique que son établissement ne pouvait accueillir qu'une vingtaine de personnes, que la vulgarité était exclue et qu'il fallait se mettre d'accord sur tous les actes. Il nous a fait passer dans la salle à côté des casiers étaient disponibles et douche obligatoire. Le vestiaire semblait petit comme un casier, il y avait des corbeilles sur les tablettes. Léon nous a rassurés, et qu'il n'avait jamais eu de vol ou quoi que ce soit d'autre.
Trois douches de type piscine étaient en face des casiers, une tablette avec des serviettes de bain étaient disponibles. Comme d’habitude Céline quitta la douche sans s’éponger. Elle prit une serviette qu’elle enroula autour de la taille, ses deux gros seins pointait droit devant elle. Pour moi et Patrice on pouvait voir la grosseur de nos queues sous la serviette.
La sortie du vestiaire nous dirigeait vers une pièce plus grande, malgré la lumière tamisée, nous pouvions voir quatre tables avec deux fauteuils chacune et dans un coin le bar. Une jeune femme nue d’une beauté, nous accueillit et nous souhaiter bonne soirée. Des tabourets se trouvaient devant ce bar, c’est l’endroit que nous avons choisi pour boire notre coupe de champagne. Céline retira sa serviette et plaça directement ses fesses sur le cuir froid, sa peau frémissait légèrement.
Deux hommes étaient au bar l'un deux se rapprocher et caressa doucement les fesses de Cécile. Sur le moment, elle a eu un bon de refus. Quand l'autre s'approcha d'elle pour s'emparait de ses nichons, elle ferma les yeux et ne dit rien.
Nous finissons nos coupes tranquillement, Léon passa à côté de moi en citant chambre N°2.
Un long couloir était dans la continuité du bar, Céline me suivait en tenant la main de Patrice, elle tremblait un peu…
Je ne sais pas, si c'est de peur, d'impatience ou simplement d'excitation, car elle avait bien compris.
Je pénétrais le premier dans ce N°2, on pouvait seulement distinguer une petite lumière qui éclairait très faiblement le centre du lit, uniquement recouvert d'une housse en tissu. Ils nous étaient impossibles de voir les murs sur les côtés, tout était noir. Léon passa dans la chambre pour voir si tout allez bien, il me montra le variateur de lumière situé non loin de la porte. Céline s'allongea sur le lit, Léon fit en sorte qu'elle se retrouve au centre, elle avait la tête légèrement penchée en arrière. Il baisa encore la lumière, maintenant ce faisceau éclairer exclusivement sa chatte.
Patrice de ce côté avait trouvé un fauteuil, s'installa confortablement et laissa tomber sa serviette au sol. De mon côté, je fis sauter la serviette en restant à côté de Céline.
Céline serrée ses jambes avec les bras le long du corps, ne sachant trop comment se mettre. Cette obscurité l'angoissait un peu.
Je m'assis à côté d'elle et commence à lui caresser ses seins, une autre main inconnue commença à la caresser, elle partait de sa cheville et montait lentement vers sa cuisse. Il arrivait que celle-ci redescendre et remontait aussitôt. Après cinq ou six mouvements, elle se faufila entre ses jambes.
Céline trouvait cela bon et écarta ses jambes, les doigts revenaient se dirigeait directement vers sa chatte qui mouillée déjà. Elle appréciait ses petits mouvements sur sa vulve.
Elle entendit comme un grognement et une tête remplaçait les doigts, elle a senti une langue sur ses lèvres. Cette langue rugueuse lapait l'intérieur de sa vulve, par moment croquait son clito. Elle avait droit à un Vieux Vicelard d'environ soixante dix balais qui aimait bouffer des chattes. Il continuait, ses coups de lavettes devenant de plus en plus précis.
Elle se lança emporter et commençait à gémir, je portais ma queue à sa bouche, elle l'avala d'un coup.
De nouvelles mains touchaient ses jambes, soudain elle se retrouva les jambes en l'air grandes écartées. Une langue léchait ses orteils et une bouche croquer l'autre pied.
Pas habitué à cette pratique, elle éclata de rire tout en gémissant. La langue prenait le temps de lui bouffer les orteils un à un, l'autre pied se trouva entier dans une bouche.
Son fou rire cessa rapidement, elle laissait le plaisir monter en elle. Tout s'arrêta brusquement.
Des mains puissantes la souleva par le cul et une queue rentra en elle violemment, des petites mains se baladaient partout sur son corps. Elle ressentait une énorme bite en elle, la faible lumière l'empêchait de voir les visages. Elle essayait de compter le nombre de queues qui l'entourait, mais sa jouissance était trop forte. Elle se mit à pousser des cris à chaque de butoir.
Sans le savoir elle était entouré de cinq mecs plus moi, la tranche d'âge variée de cinquante à soixante dix balais, à l'exception d'un jeunot de vingt-deux ans.
Le gars continuait de la prendre à grands coups, il s'arrêta un court instant, la re-souleva par le cul pendant d'un autre se glissait sous elle.
Le nouveau venu frotta son gland contre son cul et le fit rentrer d'un coup sec. Un hurlement sorti de sa gorge, elle se retrouvait prisonnière entre deux bites qui la butaient durement.
Ses mains étaient également prises par une queue dans chacune, toutes les queues se succédèrent en elle, et dans sa bouche.
Patrice assis dans son coin ne bronchait pas… Il se branlait lentement, car entre-temps j'avais remonté un peu l'éclairage. Maintenant tout le lit était illuminé et l'on pouvait voir ces messieurs à la besogne.
Sous tous ses assauts, on pouvait voir son dos se cabrait qui formait un arc de cercle, le bas de son ventre haletait sous les coups, la sueur luisait partout sur son corps.
Les bites changèrent plusieurs fois de place, le plus douloureux était son petit cul, car ils prenaient tous un malin plaisir à l'enculer violemment.
Le jeunot se soulagea le premier, il gicla sur son visage. Elle gardait la bouche et les yeux fermés.
Pour ma part, je fis exploser ma queue sur ses deux mamelles, les autres suivirent un par un.
Une fois toutes les bites vidées, les gars quittaient la chambre, elle se retrouvait béante au milieu de ce lit, son corps entièrement rempli de sperme. Elle suffoquait essayant de reprendre une respiration normale, ses gémissements s'étouffer dans sa gorge.
Patrice contemplait sa femme allongée en croix sur cette housse souillée de jouissance.
Elle mit un certain à reprendre ses esprits. Patrice se rapprocha d'elle et malgré tout ce sperme sur elle, lui roulait une pelle grandiose. Ensuite il se faufila et entra ses jambes et la baisa lentement. Épuisée elle restait sans bouger sous les coups de Patrice. Elle a senti le sperme de son homme se rependre en elle qui la fit jouir quand même.
Tous les trois avons rejoint le vestiaire enfilait nos vêtements sans prendre de douche.
Je repris le volant pour le retour, Patrice et Céline s'installèrent à l'arrière, elle se blottit sur l'épaule de son mari en s’endormit.
De retour à la maison tout le monde se laissa tomber sur le canapé, Patrice pour fêter cet évènement fit sauter un bouchon de champagne.
Après une coupe, je me levais en souhaitant bonne nuit aux amoureux.
Céline se leva d'un trait, me saisit par le polo et Patrice par la main, en se dirigeant vers la chambre.
Elle nous dit :
- Allez mes cochons à mon tour de vous baiser.
Tous à poil sur le lit, elle se plaça entre nous deux, et malgré sa fatigue, elle commença à nous branler et à nous sucer à tour de rôle. Nous n'avions pas le droit de la toucher.
Elle nous enfourchait la queue pleinement à tour de rôle, nos couilles touchant sa vulve. Très vite on laissait exploser nos glands en elle qu'elle adorait.
Épuisé on se lançait tombé sur lit, les hommes la queue encore mouillée de sa sève et elle sa chatte ouverte dégoulinait un liquide chaud, elle passa sa main sur sa vulve pour récupérer des gouttes de celui-ci et portait ses doigts à la bouche… Elle finit par s’endormir…
Pour Patrice et Céline, ce fut un moment de vrai plaisir…
(@Mars 2022 - Auteur JpG)