TRIO
J’avais une amie un peu cochonne, elle s'appelait Céline. Elle avait la quarantaine, blonde avec un joli petit duvet. Elle aime avoir une queue en elle et surtout la sentir gicler dans sa chatte. La sensation du sperme en elle, la faisait jouir. Elle désirait baiser avec deux hommes sans trop l’avouer, j’allais exaucer son vœu. Ayant un copain légèrement plus jeune que moi, je lui ai proposé de passer une soirée en charmante compagnie.
Je demandais dont à Céline si elle était d’accord pour passer une soirée amicale, sans trop préciser. Cependant, je lui imposais une tenue vestimentaire particulière : petit tailleur, avec un chemisier et des sous-vêtements légers, ainsi que des bas, pour les chaussures je lui laissais le choix…
Comme elle résidait dans le sud, je suis allé la chercher à la gare en compagnie de mon copain Michel. Lorsque nous la voyons descendre du train, elle semblait être une bombe sexuelle, elle avait dû faire dresser pas mal de queues pendant le voyage.
Elle était vêtue d’un petit tailleur blanc, et avait choisi la même couleur pour le chemisier qui faisait apparaître son soutien gorge, mais surtout on pouvait voir la pointe de ses tétons à travers. La jupe devenait transparente sous les reflets du soleil, laissant deviner la fente de sa petite chatte. Des bas résilles rendaient ses jambes fines, et des chaussures à hauts talons noires terminaient le tableau. Difficile de garder tous ses sens.

Enfin, nous avons rejoint la voiture, non sans quelques regards appuyés et parfois de petits sifflements… J’entendais le bruit de ces talons, mais je voyais surtout ce petit cul onduler de gauche à droite.
Michel se mit au volant et par courtoisie j’ouvris la porte avant de la voiture pour la laisser passer. Elle s’était installée les jambes écartées, ce qui fit remonter sa jupe jusqu’à hauteur de sa chatte. Je dois reconnaître que Michel a pris son temps pour aller de la gare à chez lui, déposant par moment sa main déraper sur la cuisse de Céline et s’excusant en croyant passer une vitesse !
Enfin arrivé, nous nous installons tous dans le salon. Michel lui demanda si elle voulait se mettre un peu à l’aise, elle retira sa veste
de tailleur qu’il alla déposer sur le lit dans la pièce juste à côté. Elle portait une chemise de flanelle transparente, nous pouvions voir sa peau satinée à travers, avec un petit soutien-gorge qui faisait remonter ses seins, les tétons sortant du tissu.
Michel s’absenta un court instant pour revenir avec un plateau et une bouteille de champagne. L’ambiance était amicale et chaleureuse. Nous étions tous placés sur le canapé, mais les hommes de chaque extrémité. Céline se trouvait au milieu comme une princesse. Pendant la deuxième coupe de champagne, Michel se rapprocha d’elle et laissa flotter une main qui remontait du genou au haut de la hanche. Céline continuait de discuter sans repousser ses caresses. Il essaya de lui caresser la vulve, le bas et la jupe le gênait, ayant compris, elle écarta ses jambes naturellement. Michel tira de côté le petit triangle de tissu qui cachait sa toison et effleurant du bout des doigts les lèvres de son coquillage.
Il sortait ses doigts et les porta à son nez pour humer son parfum, sa vulve était déjà trempée.
Je me levais en me dirigeant vers eux, invitant Céline à faire de même, je me mis derrière elle. Elle se trouva face à Michel qui commençait à se déshabiller. Blottis dans son dos, je déboutonnais son chemisier doucement, elle sentit ma queue contre son cul et le remua pour m’exciter un peu plus. Je fis enfin tomber le chemisier, il avait libéré sa peau satinée, je fis sauter son sous-tif, et ses deux mamelles jaillir, Enfin !
Michel, à poil devant elle, se branlait lentement. Je m’occupais de la jupe, qui se retrouva très vite au sol. De dos, je contemplais son petit cul, qui avait avalé la ficelle de son string.
Toujours derrière elle, je m’accroupis et commençais à descendre ses bas le long de ses jambes, je pris le temps de le faire, je pouvais mater sa chatte mouillée et entendre sa respiration s’accélérer. Enfin, je les fis sauter de ses pieds. Maintenant j’appuyais sur ses épaules comme une invite à se mettre accroupi, elle se retrouva avec la queue de Michel devant la bouche.
Sa main droite saisit cette bite, elle passait sa langue au-dessus du gland pour éponger sa sève, la main se cramponna à son nœud et lui tira sur la peau jusqu’aux couilles. On pouvait voir ce morceau de chair turgescent et les veines grossies par le plaisir, sa bouche forma un rond et avala d’un trait cette queue rougie. Sa bouche effectuait des rotations goulûment, Michel ferma les yeux sous ses assauts sauvages.
De mon côté, resté derrière Céline, je jetais mes vêtements sur un fauteuil, nu avec la bite raide, je me rapprochais d’eux.
Je relevais Céline qui avait l’air déçu de mon geste. Michel s’allongea de dos sur le canapé avec la tige droite. Elle vint le chevaucher, en saisissant cette tige et la rentra d’un coup dans sa fente humide, elle se tenait sur le haut des cuisses de Michel et il pouvait voir son ventre rentrer et sortir ainsi que ses nichons suivre les mouvements.
Ses gémissements étaient réguliers, je lui caressais le dos avec ma main qui descendait vers son cul, de temps en temps un doigt prenait possession de son petit bouton.
Ma queue gonflée à bloc, je pris enfin la décision de la pénétrer, je la penchais un peu vers Michel, du coup, elle se retrouva en appui sur ses coudes, la pointe de ses nichons effleurant le torse de Michel.
Michel saisi ses fesses et lui écarta fermement, son petit trou s’ouvrit légèrement, je me mis devant et le caressais de ma sève sur mon gland, mon envie ayant monté, je poussais un coup brusque pour le faire entrer dans son cul.
Elle se cabra en se relevant, lui tenant le bas du dos, je la repoussais, elle émit des gémissements et essaya de se dégager. J’empoignais sa croupe vigoureusement en enfonçant mon gland en elle. Le bas de mon ventre toucha enfin son joli petit cul.
De son côté, Michel continuait de lui pilonner la chatte. Je commençais doucement mes vas-et-viens, mais mon envie était trop forte de lui défoncer son petit cul. Mes coups devinrent alors plus violents et entraînaient ceux de Michel dans sa chatte.
À plusieurs reprises, nous avons changé de trous, et chaque fois que son postérieur se remplissait, elle couinait un peu plus fort.
La sueur dégoulinait partout sur nos corps, au bout d’un moment me trouvant dans sa chatte mon gland explosa, je sentais mon sperme se rependre au plus profond d’elle. Elle se mit à tressaillir et trembler de partout, après quelques va-et-viens, je donnais ma place à Michel qui laissa exploser de plaisir, sa queue dans cette vulve déjà bien remplie. Sa peau frémissait de partout avec des tremblements, lorsque Michel retira sa bite, elle se mit sur le dos et s’empara de sa chatte avec ses mains, elle continuait de se branler. Le bas de son ventre s’agitait tellement qui lui soulevait son petit cul du canapé.
Elle se calma au bout de quelques minutes… Les jambes écartées, on voyait dégouliner entre ses lèvres toute cette jouissance.
Nous avons baisé plusieurs fois dans la nuit avant de nous endormir d'un sommeil réparateur…
(@Mars 2022 - Auteur JpG)