ADELINE
Mes vacances avançaient à grands pas, il était décidé de passer une journée tranquille à la plage avec mon ami Patrice. J’enfilai donc uniquement un short et petit polo, Patrice fit de même, quant à Céline, sa femme avait opté pour un petit maillot deux pièces, qui ne cachait pas grand-chose, juste histoire de ne pas être nue…
Arrivés sur le sable, nous recherchons un petit coin tranquille au niveau des dunes et une fois nos serviettes posées, nous voilà tous à poil, comme à notre habitude.
Céline cru discerner une connaissance un peu plus loin, elle se leva pour aller voir. Et, effectivement, nous pouvions la mater en pleine discussion avec une autre femme. Elle revint vers nous, accompagnée d'une nana d’une vingtaine d’années, avec de magnifique petits seins, qui avaient des auréoles roses surmontées de tétons qui pointaient fièrement en notre direction. Elle avait également un joli petit cul digne d’un ballon de basket.
Arrivée à notre hauteur, on pouvait voir le visage de celle-ci rougir, elle débutait dans le naturisme et surtout pas habituée à voir des queues dressées devant elle
Céline nous fit les présentations, Adeline qu’elle avait connu chez des amis, la bise de bienvenue était d’usage. Elle s’allongea sur sa serviette, comme nous tous, mais effectivement, Patrice et moi scrutions ce nouveau corps féminin avec délice, et cela avait l’air d’amuser grandement Céline.
Les émotions une fois passées, tout le monde alla se jeter à l’eau, et nous avons joué comme des gamins, l’après-midi passa vite entre bronzettes et baignades. Par moments je voyais Adeline regarder futilement mon corps et celui de Patrice, faisait-elle des comparaisons ?
Entre deux baignades il n'était pas rare de voir Céline se caresser la chatte en plein soleil, elle adorait cela, et invita Adeline à faire autant,
Nous pouvions entendre d’un côté, de petits gémissements aigus, et plutôt timides de l’autre…
Le soleil se couchant lentement, Céline se leva en lançant :
- « Allez, je vous invite à boire l’apéro à la maison »
Céline remit son minuscule deux pièces, et de son côté Adeline mit un bas qui cachait uniquement sa fente, un minuscule triangle, du coup, son derrière restait à l’air et la fente de son petit cul avait avalé la ficelle, le haut vint lui plaquer ses petits seins, elle était encore plus excitante ainsi avec ses bouts qui tendaient le tissu.
Arrivés chez Céline, pour le côté pratique, celle-ci avait installé un petit panier dans son entrée pour le linge de plage, histoire de ne pas trop souiller la maison de sable. Céline, Patrice et moi nous retrouvons vite en petite tenue quant à Adeline, elle avait gardé ces petits bouts de tissus, alors Céline s’approchant d’elle lui dit :
- Mets-toi à l’aise… donne-moi ton maillot
sa jeune amie obéit et s’assit sur le canapé en croisant les jambes, avec les bras sur ses petits seins, Céline de nouveau lui dit :
- Chez nous, les femmes ne croisent pas les jambes.
Elle rougit au point qu’une tomate aurait été jalouse, elle décroisât ses jambes, mais garda ses cuisses fermement serrées pour cacher l’entrée de sa fente et croisa de nouveau les bras sur sa poitrine.
Patrice de son côté mit une petite musique d’ambiance et servit un whisky à chacun, pour ma part, j'avais choisi un fauteuil sur le côté et mes jambes étaient croisées histoire de ne pas montrer l’ardeur de ma queue.
Céline, c'était installé à côté de son amie, quant à Patrice, il posa ses fesses sur un fauteuil face aux filles avec sa queue pointant fièrement vers elles. On pouvait sentir le malaise d’Adeline à voir cet énorme bijou.
Après avoir trinqué, tout le monde commençait à boire, et Adeline se mit à tousser pas habituée à boire ce genre de breuvage. Céline nous explique comment elles avaient fait connaissance avec un petit fou rire de chacune d’elles. Peut-être sous l’effet de l’alcool Adeline donnait l’impression de se détendre, ses cuisses s’ouvraient et l’on pouvait contempler cette belle fente qui descendait de son duvet, elle n’était pas rasée et une jolie toison blonde enveloppait sa petite chatte.
Céline posa une main sur la cuisse d’Adeline à la limite de sa chatte, sur le coup elle tressaillit, ne sachant pas quoi faire, refuser cette main ou ne rien faire.
Tout en continuant de discuter, Céline se mit à caresser lentement cette petite chatte, et par moments, on pouvait voir des petits frémissements sur la peau d’Adeline. Patrice assis en face n'en perdait pas une miette…
Voyant le consentement de son amie, Céline pénétra sa chatte qui s'était ouverte sous ses caresses, elle rentrait et sortait ses doigts progressivement avant de les enfoncer plus profondément à chaque fois. Adeline mouillait comme une folle, et l'on voyait sa sève couler sur le canapé. Céline se tourna vers sa copine de jeux et lui donna un petit baiser sur la bouche, mais à ce moment Adeline s’empara de ses lèvres et lui roula une pelle magistrale, on pouvait voir leurs langues se mélanger. Sous cet assaut, Céline descendit vers ses petits seins, les suçant à tour de rôle et mordillant chaque téton. Sous ses caresses, les gémissements timides d’Adeline devinrent plus puissants.
La plus âgée des deux filles se plaça à genoux entre les jambes de l'autre, elle lui leva les pieds sur le bord du canapé, du coup Adeline se retrouva les jambes en l'air grandes ouvertes, Céline avait une vue imprenable ainsi que Patrice qui de son côté jouait doucement avec sa queue. Elle enfouit sa tête dans la chatte d’Adeline donnant de grands coups de langue sur son clito et pénétrant son œillet de deux doigts. Le petit cul d’Adeline se cambrait et l’on voyait le bas de son ventre onduler sous ces caresses, le tout suivi de gémissements. Céline fit signe à Patrice de venir, il se positionna à la place de sa femme. C’était la première fois qu’il en baisait une autre devant elle. Adeline, les yeux fermés, ne le remarqua pas de suite. En revanche, quand elle a senti quelque chose de dur se frotter à sa moule, en ouvrant les yeux et à la vue de cette queue énorme, elle tressaillit et essaya de se dégager.
Céline la calma en assurant qu'il allait s'y prendre doucement.
Elle d’assis à côté d’elle en lui caressant tendrement son duvet, sous cette caresse, et en confiance, la jeunette referma les yeux et s'abandonna à ce plaisir, mais ses mains prêtes à repousser cette énorme bite.
De mon côté, je vins m’assoir sur le canapé, à côté d’eux, Céline en profita pour prendre mon gland en bouche, les veines déjà gonflées, elle ne fit qu’amplifier mon envie de gicler au fond de sa gorge, puis changeant de position, vint s’assoir sur ma queue, l’enfourcha d’un coup avant même que je réalise. Tout en continuant de caresser Adeline, elle effectuait des petits va et vient sur mon gland. Ne voyant que son dos et le bas de son cul, je ne pouvais pas réellement bouger, pour me calmer, mes mains saisirent ses deux mamelles qui a gonflé de désir. Enfin, je pris son cul dans mes mains pour faire des mouvements plus amples et rapides.
Un hurlement nous sortit de notre fièvre animale, car Adeline vint de prendre la totalité du mandrin de mon copain de baise. Tout le bas de son ventre était en émoi, sa respiratoire haletante, on put deviner la grosseur de cette queue à travers sa peau. Ses mains agrippaient le cuir du canapé, pendant que sa tête roulait dans tous les sens. Il faut dire qu’il avait commencé gentiment et maintenant il l’a pilonné à fond.
Céline compris ma réaction aux niveaux de mes mains, et se mit à accélérer les mouvements de son bassin. N'y tenant plus, ma queue explosa instantanément dans sa chatte, sentant ma semence en elle, elle ne s’arrêta pas pour autant, au contraire comme si elle voulait reprendre une seconde rasade de cette liqueur d'amour en elle. Enfin elle ralentit et resta assise sur moi, mon gland emprisonné entre ses lèvres, je pus sentir mon sperme glisser entre ma queue et sa chatte pour se rependre sur le canapé. C’est le moment que choisit Patrice pour pousser un grognement, il retira sauvagement sa queue de cette jeune chatte et laissa son gland cracher sur sa toison, le jet fut tellement puissant qu'il lui gicla jusqu’aux nichons, Adeline se laissa tomber tête en arrière, son petit corps luisait sous la sueur et la jute. Céline avait toujours ma queue en elle, de ses doigts elle ramassa le sperme de son mari sur les seins de sa collègue et les dirigea vers sa bouche… Adeline, voyant les doigts se rapprocher, ferma la bouche. Céline se pencha vers elle en disant :
- “Goûte cet élixir, c'est bon”
Timidement, elle rouvrit ses lèvres et Céline déposa quelques gouttes de cette « sauce blanche », après avoir léché les doigts, non sans une grimace, elle reconnut aimer cela. Céline répéta son geste trois à quatre fois…
Nous avons tous fini allongés sur le canapé, les femmes, avec les jambes entrecroisées, les chattes béantes et dégoulinantes de jus d'homme, et nous les queues pendantes entre nos rassasiées de plaisirs partagés.
Ce jour-là est béni, car nous avons baisé deux belles grosses cochonnes.
(@Mars 2022 - Auteur JpG)