Copine

Adeline (corrigé+fond+image)

  - Attention Réservé à un Public Averti de plus de 18 ans -  

COPINE

En parcourant les réseaux sociaux, j'ai été attirée par un profil qui m'a été proposé. Le nom de ce profil m'a fait penser à une amie d'enfance, pour la photo que j'ai vu une femme, mais son visage m'a fait penser à elle.

J'ai envoyé un petit message contenant des indices pour voir si c'était elle. Le titre de la réponse ne laissait aucun doute " Bonjour Blondinet ", le surnom que j'avais dans mon enfance.

Nous avons échangé des conversations sur ce réseau et très rapidement nos adresses de messagerie pour la partie la plus pratique.

Les premiers messages ont été banals, racontant ce que nous étions devenus, un peu notre parcours. Les dialogues devinrent un peu plus personnels, après avoir envoyé une photo correcte de moi, elle me demanda une autre, mais un peu moins vêtu.

Ces échanges ont duré longtemps, elle était fière de ses diaporamas de nues qu'elle m'envoyait. Quand j'ai demandé qui prenait les photos, elle m'a dit que c'était son mari qui était un gros vicelard. Il la photographiait la nuit pendant son sommeil. Une fois en se réveillant, elle l'a surpris entre ses jambes en train de prendre une photo de son minou.

Elle m'a demandé des photos intimes, les premières étaient basiques. J'avais déclenché sa curiosité. Elle voulait regarder une photo de ma bite. Pour finir, je lui ai fait ce plaisir. J'ai reçu un " OUF " en retour,

malgré que nous avions fait l'amour plusieurs fois dans notre jeunesse, elle ne se souvenait pas que j'avais un tel calibre.

Elle avait besoin d'expliquer comment elle faisait l'amour. Au début, elle m'a raconté que son vieillard (son mari était plus âgé qu'elle) avait une petite bite de dix centimètres. Pour faire l'amour, elle devait se mettre à poil au lit, il baisait seulement le soir, il éteignait la lumière puis l'escaladait pour se vider les couilles. Ils baisaient dans le noir. Quelquefois il plongeait ses doigts profondément dans son cul jusqu'à la faire hurler de douleur.

Nous avons continué à échanger des courriels avec des photos de plus en plus intimes. Elle me propose une rencontre à Paris. Elle vivait dans le sud-ouest, mais une copine de la capitale pourrait la couvrir avec cette escapade.

Elle m'a promis une tenue sexy qui me plairait. Je réservais une chambre d'hôtel non loin de la maison de sa copine lors de son week-end d'évasion.

J'étais sur le chemin de cette rencontre à l'endroit convenu, et je l'ai vue arriver. Je sortais de ma voiture pour lui ouvrir la porte, et elle était surprise de mon geste et sa copine qui nous regardait également.

Elle m'a promis qu'elle porterait une tenue sexy pour me rendre heureux. Une fois au restaurant, elle a enlevé son chapeau, son pull et son manteau. Comme tenue sexy, elle portait un pantalon avec un sweat à col roulé.

Elle m'a promis qu'elle porterait des vêtements sexy pour me plaire. Une fois au restaurant, elle ôta son chapeau, son écharpe et son manteau. En tant que tenue sexy, elle portait un pantalon avec un chandail col roulé. Avec un sourire, je lui ai dit ce qu'elle portait n'était pas vraiment sexy, et elle s'est excusée, elle avait fait ses emplettes avec sa copine et n'avait pas eu le temps de se changer.

Le dîner s'est déroulé dans une bonne atmosphère en parlant de tout et rien. À l'heure du dessert, je lui ai demandé si elle avait toujours envie d'aller à l'hôtel ? Sinon je la raccompagnerais chez son amie. Elle m'a répondu en disant oui.

Enfin le grand moment, j'ouvris la porte de la chambre d'hôtel et la fit entrer en premier. Je m'arrêtais quelques minutes à l'entrée pour jeter mes chaussures et chaussettes. Je la retrouvais au pied du lit, marchant sur cette épaisse moquette. De son côté, elle avait seulement enlevé son manteau et écharpe.

Elle était immobile au pied du lit sans savoir quoi faire, je l'embrassais sur la bouche en lui chuchotant à l'oreille : "Tu me fais confiance". Je l'ai fait avancer d'un mètre et je me suis mis derrière, j'ai commencé à faire voler son chapeau qu'elle avait oublié.

J'ai posé mes mains sur elle pour lui ôter son chandail, et elle a sursauté. J'ai interrompu mon geste, et elle s'est excusée, me disant qu'elle n'était pas habituée à se faire déshabiller un homme. J'ai repris son pull et l'ai délicatement levé jusqu'à sa tête, et il s'est retrouvé par terre à côté du lit. Je découvrais un sous-pull et je la félicite pour son côté sexy. J'ai entrepris la même opération que précédente et j'ai eu droit à un nouvel sursaut. Je pouvais enfin voir sa peau, j'ai laissé le coup de mes doigts glisser sur son dos depuis le cou jusqu'à la taille, sa peau commença à frissonner. Elle portait un très joli soutien-gorge noir, j'ai fait sauter les agrafes et laissait tomber le tissu, mes mains lui pris la poitrine, elle refit un bond cette fois-ci elle sourit. Toujours derrière elle je suis venu me coller dans son dos, ma bite durcie est venue se plaquer contre son cul. Je mettais déshabillé entre deux sauts, je ressentais la chaleur de sa peau sur ma poitrine ?

Elle se trouva à moitié nue devant moi, je prie la taille de son pantalon, je vis ce collant le saisi au passage pour gagner du temps, ses jambes se sont offertes à moi. Sa culotte était noire. Une fois ces jambes libérées, je me plaçais devant elle, elle découvrait ma nudité, mais surtout mon sexe. Elle était abasourdie de sa taille avec la peur que je puisse la blesser. Je la poussais en douceur jusqu'au bord du lit. Elle s'assit sur le rebord, et je l'embrassai de nouveau, caressant ses jambes, et je tombai sur elle. Ses seins serrés contre ma poitrine et ma bite touchant sa culotte. Je me redressai pour passer entre ses jambes, j'ai enlevé ce tissu, sa chatte épilée m'a sauté au visage.

Mes doigts commencèrent à caresser cette fente qui mouillait très vite, le trou de son petit cul était visible j'y passai aussi un doigt. Ma langue lui léchait doucement ses lèvres mouillées, ce qui la faisait frémir d'un petit gémissement. Elle m’encourageait à lui bouffer la chatte. Je plongeais ma langue dans les profondeurs de son clitoris, la mordant parfois.

Mes mains flottaient entre ses cuisses, elle les écarta pour que je puisse mieux lui bouffer la chatte. Je me suis agenouillé avec une bite dure comme jamais, elle est rentrée d'un coup dans cette fente. Je pouvais voir ma queue aller dans cet abîme, à chaque mouvement, je la poussais à fond. En dépit de mon grand désir d'éclater mon gland, la sève ne s'est pas levée, mais ma queue était rigide.

J'ai retiré ma bite de sa chatte, et lui ai demandé de s’asseoir sur le bord du lit, sa bouche atteint la hauteur de ma bite. D'une main, j'ai frotté le bout de mon gland sur ses lèvres, elle a eu un instant de retrait. Elle a vu ma queue pleine avec notre sève. Elle n'était pas habituée à sucer, je la rassurai et la tête de ma bite pénétra dans sa bouche.

Après l'avoir mise à quatre pattes sur le bord du lit, je contemplais sa chute de rein et son petit cul qui s'ouvraient à ma vue. Ma queue est passée entre ses cuisses et fut aspirée par cette chatte grande ouverte, elle remuait son derrière en guise de mouvements.

Je lui donnais de gros coups de rein en la poussant à chaque fois, mais je n'arrivais pas à faire éclater mon désir de jouir. Trempée de sueur, j'ai fini par la pousser doucement sur le ventre sur le lit et je m'ai laissé tomber dessus.

Fatiguée, on s'est allongés sur le lit, elle a fumé une cigarette, puis a blotti son derrière contre mon sexe. Je voyais le creux de ses reins et son petit cul, je regardais ce paysage avec plaisir, ma bite restait raide. Je me suis collé plus à son petit cul et mon morceau est passé entre ses fesses, glissa directement dans sa fissure qui était toujours humide. Mes mouvements timides furent de plus en plus rapides, elle s'est mise à jouir lentement comme si elle voulait cacher le plaisir qu'elle prenait. On a refait plusieurs amours à chaque fois avec cette même fougue. Ma bite ne crachait pas et restait raide.

Finalement j'ai pris congé, j'ai emballé ma queue toujours aussi forte que jamais et l'ai laissée allongée nue sur le lit avec les bras ouverts.

Je l'ai embrassée et elle me dit qu'elle était désolée de ne pas avoir réussi à me faire exploser mon gland. Je lui ai dit que je l'avais vue ou entendue jouir plusieurs fois et qu'elle m'avait apporté ce plaisir.=

(@Mars 2022 - Auteur JpG)

Évaluation: 1 étoile
1 vote