Beau père (Le)

Adeline (corrigé+fond+image)

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Le Beau-père

L'histoire du « LE PARI PERDU » a modifié de façon spectaculaire le comportement de Martine. Elle avait fait de nombreuses prises de photos nues, qui sont rapidement devenues plus sexuelles. Son mari a également déploré les bouleversements survenus chez sa femme. Martine manifeste alors une volonté évidente de se montrer, mais pareillement de faire l'amour. Elle ne se souciait plus d'avoir des rapports sexuels chez elle avec son parrain qui avait éveillé tout cela.

Il n'était plus inhabituel de la voir légèrement habillée, chez elle, voire nu. Elle ne se souciait pas des nouveaux visiteurs. Son mari n'y voyait pas d'inconvénient, mais il regrettait qu'elle ne fût pas plus pudique quand il accueillit du monde. Même avec les remontrances de sa jeune fille adulte de s'habiller de manière plus correcte en présence de visiteur, même si c'était sa fille. Elle a répondu qu'elle était aussi une femme et qu'elle savait ce que c'était qu'un cul, une chatte ou une paire de seins.

René savait que sa femme aimait les queues, mais pas la sienne. Devenu candaulisme, il prit plaisir à voir ou à connaitre sa femme, se faire baiser par une personne d'autre. De temps en temps, il arrivait toutefois qu'elle le suce avec le droit de souiller ses seins ou l'entrée de sa vulve.

Le père de René a l'habitude de rendre régulièrement visite à son fils dans la soirée. Un soir, il est arrivé Martine avait pour vêtement un simple un petit débardeur, à moitié enlevé. Elle avait la chatte et les seins en l'air. Le beau-père s'est trouvé gêner par ce spectacle de voir sa belle-fille ainsi vêtu. Il lui a dit de mettre au moins un peignoir, elle répondit qu'elle était chez elle et faisait ce qu'elle voulait, en plus sa chatte et ses seins devaient respirer.

Le beau-père passait quotidiennement et pouvait admirer sa belle fille plus ou moins vêtu à chacune de ses visites. Un jour, il lui dit qu'elle mériterait une fessée comme une enfant. Elle a répondu en riant que ça lui ferait plaisir.

À force de se répéter gentiment, il a transformé ses paroles en gestes. Martine était assise dans un fauteuil face au canapé où son beau-père est habituellement assis. Elle avait une jambe surélevée qui laissait une large vue de l'ouverture de sa fente et de ses deux seins flottant dans les airs.

Il l'a saisi soudainement d'une main et la posa à plat sur ses genoux. Martine a été surprise par le geste de son beau-père et un peu enthousiasmée par le reste. Son petit cul était bien élevé, elle a senti une première gifle qui lui a fait sourire un peu avec un pli que c'était une caresse. Le beau-père laissa tomber le deuxième plus vite et plus fort, elle entendit son jaillissement sur ses fessées. D'autres ont suivi à une vitesse toujours plus grande et surtout plus puissante, certains mordant même l'entrée de sa chatte. Le plaisir qu'elle avait pris dans un premier temps se transforma en larmes. Quand il cessa la punition, ses fesses furent recouvertes de la marque des doigts qui l'avaient frappé. Elle revint s'assoir sans dire un mot. Ses fesses étaient d'un rouge vif, comme son visage avec des larmes coulant doucement.

La relation que le père entretenait avec son fils ne faisait qu'un. Un jour, alors qu'il discutait, il lui a dit qu'il finirait par la baiser à cause de ses provocations. Son fils n'a pas trouvé la situation inquiétante et ceci pourrait peut-être la calmer.

Martine attendait maintenant son beau-père, qu'elle a appelé par la suite « Claude ». Autour de l'heure de son arrivée, elle était complètement nue pour éviter de perdre du temps.

Ce soir-là, il n'était pas de bonne humeur. En voyant sa belle-fille nue, on l'emmena par le bras dans sa chambre et la propulsa à plat sur le bord du lit. Les premières claques tombèrent immédiatement sur ses fesses. C'est la première fois qu’elle sentit une telle force sur ses fesses. Elle voulait mettre ses mains en protection contre ces coups. Celle-ci fut enlevée sans ménagement et les gifles continuèrent à pleuvoir sur elle, quelquefois même au milieu de sa chatte. Il s'est seulement arrêté en voyant que son cul était couvert avec la trace de ces doigts. Martine de son côté après les premiers gémissements avait laissé libre cours aux larmes.

Il la renversa sauvagement sur le dos. Elle avait les mains devant la chatte parce qu'elle craignait de se faire frapper. Claude a glissé son pantalon en dessous des jambes. Une grosse queue en éjecta, la pointe du gland trempé. Une main ferme la saisie et le lui enfonça dans la chatte devant lui. L'entrée était brutale, il poussa jusqu'au moment où il sentit les lèvres de sa chatte contre ses cuisses.

Cette queue a commencé à se déplacer lentement et rapidement, chaque fois qu'il a atteint le fond, un coup de rein a essayé de l'enterrer un peu plus. Claude apaise sa mauvaise humeur sous ses assauts et les cris des gémissements qu'il entend l'excitent encore plus. Il voulait défoncer sa chatte, il sentit sa sève se lever dans son gland, après quelques coups de plus, il la laissa exploser en elle. Martine eut un orgasme puissant dans la partie inférieure de son corps et commença à trembler. Il ôta sa queue et réajusta son pantalon sans se soucier du fait que sa partenaire tremblait au pied du lit.

À partir de ce jour, il la baissait régulièrement et elle jouissait à chaque fois. Pour épicer un peu, les choses, il a invité un ami pour la baiser à deux. Après avoir rempli tous ses trous et l'avoir fait crier, le copain raconte à Martine qu'elle était une GROSSE COCHONNE et qu'il allait s'occuper d'elle ...

(@Avril 2022 JpG)

 

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