Voyeur

Adeline (corrigé+fond+image)

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VOYEURS

J'allais prendre des vacances dans le sud. Comme à l'accoutumée, j'ai été accueilli par mes amis Céline et Patrice. Elle avait environ quarante ans et Patrice était légèrement plus âgée. J'aimais beaucoup leur hospitalité et leur compagnie. Comme toujours, on m'accueille avec une grande gentillesse.

Après une douche, c'était déjà l'heure de diner. On dine dans une atmosphère champêtre très conviviale. Patrice m'a annoncé qu'il devait malheureusement partir le jour suivant pour un voyage d'une semaine. Céline, qui avait un travail libéral, avait pris des journées de congé.

Nous terminons la soirée tranquillement au salon, Patrice fidèle à lui-même met une musique de fond et sert un digestif.

Par politesse, le lendemain, je me suis levé tôt pour saluer Patrice avant son départ. Céline n'avait pas changé, elle était nue et il n'y voyait pas d'inconvénient. Après son départ, je me suis installé avec un journal dans un fauteuil sur la terrasse.

Au cours du déjeuner, elle m'a informé que cet après-midi, elle entendait me faire découvrir un petit coin agréable dans une pinède.

Aux alentours de quatorze heures, je l'ai rejointe à sa voiture, une petite Mini Austin un peu passe partout. Céline portait un petit short moulant et un petit haut qui se levait et lui montrait une partie de son ventre. De mon côté, j’avais mis un short et un polo, et je suis parti avec un livre.

L'aventure commençait. Après quelques minutes de route, elle emprunta un petit chemin de forêt. La végétation l'entourait en laissant à peine le passage de la voiture, il était nécessaire de bien le connaitre. Elle a garé sa voiture dans un petit bosquet, elle prit la couverture sur le siège arrière ainsi que son sac de plage. Nous poursuivons ce petit chemin pendant cinq minutes, abaissant parfois la tête afin d'éviter la végétation. On est arrivés dans une clairière à moitié lumineuse à l'ombre et à moitié ensoleillée.

Elle avait étendu la couverture au centre, tirant parti de l'ombre ou du soleil. Elle s'est allongée nue sur son ventre, ses fesses regardant le soleil. Nu aussi, j'admirais sa peau satinée qui resplendit sous les rayons de celui-ci. J'ai finalement approfondi l'histoire de mon livre.

Elle se tirait légèrement en biais, et je pouvais alors sentir son pied contre ma jambe, monter et descendre. Immergé dans mon histoire, mon corps a frissonné. J'ai lâché mon livre pour m'allonger sur le dos. Elle est venue plus près de moi, je pouvais maintenant sentir sa main flotter sur moi. Elle passait du haut de mes cuisses à ma poitrine, évitant volontairement le bas de mon ventre.

J'écarte les jambes pour laisser passer mon sexe gonflé, de la tête nue de mon pénis jaillit du jus de plaisir. Elle le saisi avec ses doigts et a commencé à faire des va-et-vient rapides. Elle s'est finalement agenouillée à l'apogée de mon sexe, sa vulve était à demi ouverte et humide.

Elle ondulait le bas de son ventre, la tête de mon gland touchant les lèvres de sa vulve. Elle se mit à gémir lentement et je sentis ma verge rentrer en elle. Penchée sur ma poitrine, elle faisait bouger ses fesses doucement, elle aimait sentir une grosse bite dans son corps.

Mon attention a été attirée par deux ombres que je pensais avoir aperçues d'un côté de la clairière. J'ai fini par distinguer la silhouette de deux hommes. Ils observaient depuis longtemps parce que leur pantalon était baissé et leur queue dans leurs mains.

Céline, les yeux fermés, ne cessait de remuer, ses gémissements se renforçaient. Elle avait envie d'accélérer ces gestes, je l'ai ralentie en la prenant par la taille.

Les deux hommes se trouvaient aux abords de la clairière, je pouvais les voir distinctement. Je voyais maintenant deux hommes d'un certain âge, tout excités, nus.

Je fais un signal pour qu'ils se joignent à nous, mais sans faire le moindre bruit. Je les ai vus s'approcher comme des loups à pas feutrer. Enfin à notre hauteur, Céline ne les remarque pas toujours avec des yeux fermes avec mon sexe dans elle. Dès qu'ils ont mis leurs vêtements sur le sol, leurs mains se sont jetées sur le corps de Céline.

Comme des chiens enragés, ils ont commencé à palper ses seins, à lui claquer les fesses, et l'ainé a rentré un doigt dans son bouton doré.

Sous ses attaques, Céline ouvrit les yeux et chercha à se retirer. Je la tenais par de ses cuisses et l'empêchait de fuir, tandis que ces petites mains continuaient à harceler son corps. Je commençais à bouger mes hanches pour entrer et sortir mon sexe en elle.

J'étais si excitée par ce spectacle que mon gland éclata rapidement en elle, pour une fois ma semence n'avait pas fini de s'échapper que Céline était passée sur le côté et a fini sur le dos.

Allongée, elle tente avec un bras de dissimuler ses seins. Elle n'a pas eu le temps de mettre la main pour cacher sa fente. Comme elle avait gardé ses jambes ouvertes, un grand-père s'y était déjà engouffré. Il n'avait aucun sexe particulier, mais il était tout à fait raide et j'ai été surpris par son diamètre.

Celui-ci avait saisi et relevé les jambes de Céline en hauteur, sa chatte était offerte à son pénis. Il ne pouvait pas y mettre sa queue tant qu’elle était si large, son ami est venu à son secours. Le second était plus vicieux, il a d'abord mis son cul sur la figure de Céline avec son petit trou à la hauteur de sa bouche et a attrapé ces jambes. Son collègue, de ses mains, frotta vigoureusement sa queue contre la vulve et d'un coup brusque la laissa entrer, Céline poussa un violent cri de douleur. Au plus profond, elle ne sentait pas cette queue, c'étaient plus les mouvements contre ses lèvres. Le grand-père bougeait lentement, grognait, et parfois recouvrait sa splendeur. J'ai été surpris de voir sa persévérance. Il s'arrêta brusquement et se mit à genoux entre les jambes de Céline. Son gland éjectait un liquide opaque, il le pulvérisait sur son duvet et jusqu'au sommet du nombril.

Elle ne s'est pas remise de ses émotions. Le premier avait attrapé ses mains et les avait tenues plus haut que sa tête. Ça a donné un bon aperçu à son complice. Pour le second, elle avait une queue légèrement plus grosse, mais aussi avec un bon diamètre. Sans précaution, il enfonce cette queue entre les jambes de Céline. C'était plus brutal, comme un chien enragé, ça faisait de bons coups de queue, j'entendais le bruit de ses couilles.

Elle ne s'est pas remise de ses émotions que le second été déjà là. Le premier avait attrapé ses mains et les avait tenues plus haut que sa tête. Cela donné un bon aperçu à son complice. Pour le seconde, elle avait une queue légèrement plus grosse, mais aussi avec un bon diamètre. Sans précaution, il enfonce cette queue entre les jambes de Céline. C'était plus brutal, comme un chien enragé, ça faisait de bons coups de queue, j'entendais le bruit de ses couilles. Céline ne pouvait plus bouger, on voyait ses seins suivre ses coups, elle gémissait beaucoup et devait jouir. Le petit vieillard a poursuivi ses déplacements, il n'avait pas baisé depuis longtemps.

Il a lancé un grondement profond, se leva et se dressa sur Céline. Il a commencé à se branler et très vite des jets puissants ont arrosé les mamelles de Céline ainsi que son visage.

Ils se levaient tous les deux, le plus vicieux est venu me voir, me dit que j'avais une copine super cochonne. Il avait déjà pu l'observer à plusieurs reprises dans cette clairière entrant de se branler la chatte et ses gémissements remplaçaient ceux des oiseaux. Ensuite les deux compères disparurent dans les broussailles comme ils étaient venus.

Céline était toujours allongée là sans oser se déplacer, je pouvais voir sa peau encore tremblante. Je tenais à me rattraper. Je me suis approché lentement et j'ai placé ma main sur son petit duvet. Elle a pris un peu de recul, puis elle a laissé celle-ci la caresser. Sous mes doigts, j'ai senti le liquide gluant, je l'ai étalé sur son ventre jusqu’à son duvet. Mes mains se sont levées vers ses seins qui ont rencontré le même liquide, ma paume s'est écrasée sur lui et j'ai enduit chaque sein de Céline de ce nectar.

Elle commençait à se décontracter. Ma verge était gonflée de façon incroyable. Je me suis couchée sur le ventre de Céline et j'ai petit à petit mis ma tige en elle. Elle écarta un peu plus les jambes, et mon dard allait progressivement en elle. Je sentais sur ma peau le fluide collant qui la recouvrait. Elle finit par lâcher prise avec des petits cris de plaisir. Mon pénis fini par se vider dans elle, j'ai poursuivi mes petits mouvements. Je suis resté sur elle avec mon sexe encore enflé en elle jusqu'à ce qu'il laisse sa vulve seule. Je pouvais voir un petit sourire sur son visage…

(@Mars 2022 - Auteur JpG)

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